Par
Sarah Coulet
Publié le
29 novembre 2024 à 14h03
Voir mon actualité
Suivez l’actualité parisienne
C’est un voyage dont ils se souviendront longtemps, mais pas pour les bonnes raisons. Mercredi 27 novembre 2024, 120 lycéens d’Île-de-France accompagnés de leurs professeurs, une délégation du Mémorial de la Shoah et des membres du conseil régional, dont Valérie Pécresse, sont montés à bord d’un avion à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, retracent France Bleu Paris.
A lire aussi : « C’est le garage de Steve Jobs ! » : cet entrepreneur de Bobigny sera le premier fabricant de bagages en France
« On tirait, on tirait ! »
Il est 6h40 et leur arrivée à Cracovie est prévue quelques heures plus tard. Là, un bus les attend pour revenir Auschwitz et ses camps de concentration.
Premier écueil : le le décollage est retardé d’une heure car la météo y est trop mauvaise pour permettre un atterrissage.
L’engin finit par quitter le sol et le vol se déroule sans encombre. Mais nouveau problème : impossible d’atterrir à cause du manque de visibilité. « Nous sommes restés dans les airs pendant trois heures, nous tournions, nous tournions ! », témoigne au micro de la radio un étudiant présent à bord.
Le pilote et ses passagers attendront ensuite trois heures dans l’avion avant d’être redirigés vers Wrocławune ville située plus au nord de la Pologne et donc plus éloignée d’Auschwitz. La visite a finalement été annulée, faute de temps.
Les passagers ont atterri à Roissy vers 14h30après plus de 7 heures de vol. Mais ce n’est que partie remise, Valérie Pécresse aurait promis un nouveau voyage avant la fin de l’année scolaire.
Suivez toute l’actualité de vos villes et médias préférés en vous abonnant à Mon Actu.
France