Votre maire | Ville de Rueil-Malmaison – .

Votre maire | Ville de Rueil-Malmaison – .
Votre maire | Ville de Rueil-Malmaison – .

Né à Périgueux en Dordogne le 17 décembre 1944, il rejoint à 16 ans le général de Gaulle pour défendre les idées et le projet de société qu’il incarne, à travers la nouvelle République qu’il propose aux Français : les nouvelles institutions de la Ve République, l’indépendance nationale, l’idée de participation, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, l’Europe des Nations…

Dès 1962, au lycée d’Aix-en-Provence, Patrick Ollier s’intéresse de près à la vie politique et au délicat problème de la fin de la guerre d’Algérie et de ses conséquences en France.

Il devient un militant gaulliste actif dans les milieux lycéens puis universitaires, contribuant avec quelques amis à fonder deux jeunes mouvements gaullistes :

  • Action étudiante gaulliste, en 1962 ;
  • L’Union de la Jeunesse pour le Progrès (UJP), mouvement national des jeunes gaullistes, en 1965.

À la fin des années soixante, Patrick Ollier devient professeur d’économie au lycée et à l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence.

1969-1977 : Chef de projet dans les cabinets ministériels

Il quitte ensuite Aix-en-Provence pour rejoindre le cabinet de Jacques Baumel, à la demande de Jacques Chaban-Delmas, alors Premier ministre.

En 1969, il devient chargé de mission au cabinet de Jacques Baumel, secrétaire d’État à la Communication.

Il fut appelé par Jacques Chaban-Delmas en 1970 puis par Pierre Messmer en 1973, Premiers ministres, qui l’intégrèrent successivement dans leurs cabinets comme chargé de mission aux Affaires parlementaires. Par la suite, Patrick Ollier poursuit sa carrière jusqu’en 1981 dans des cabinets ministériels.

En 1973, il devient conseiller technique de Georges Gorse, ministre du Travail. Un an plus tard, après les élections présidentielles, il est nommé conseiller technique de Paul Dijoud, secrétaire d’État à l’Aménagement du territoire du nouveau gouvernement.

En 1976, Jacques Baumel souhaite que Patrick Ollier s’installe à Rueil-Malmaison pour préparer son entrée dans l’équipe municipale afin de poursuivre leur collaboration localement. La même année, il s’installe avec sa famille, dans le quartier des Martinets.

1977: Involvement in local politics in Rueil-Malmaison

En 1977, il devient adjoint au maire de Rueil-Malmaison, délégué à la jeunesse, aux sports et aux loisirs. Puis, l’année suivante, il est élu député de Jacques Baumel, député des Hauts-de-Seine (circonscription de Rueil-Saint-Cloud-Garches).

Il est nommé conseiller technique d’Alain Peyrefitte, garde des Sceaux, ministre de la Justice, et suit notamment la préparation de la loi du 2 février 1981 renforçant la sécurité et protégeant la liberté des personnes, promulguée à l’issue du septennat. mandat de Valéry Giscard d’Estaing.

Réélu suppléant de Jacques Baumel en 1981, Patrick Ollier poursuit son action de député à la jeunesse, aux sports et aux loisirs à Rueil-Malmaison, à l’issue des élections municipales de 1983.

1982-1988 : nouvelles responsabilités au sein du RPR

Après l’élection de François Mitterrand à l’Elysée, Patrick Ollier quitte le cabinet d’Alain Peyrefitte. Il est nommé directeur du marketing télématique au ministère de la Communication. Quelques mois plus tard, il est contraint de quitter son poste, remplacé par une personne désignée par la nouvelle majorité.

Il décide ensuite de quitter l’administration et entre dans le secteur privé en rejoignant le groupe sucrier Béghin-Say, où il devient un collaborateur de Jean-Marc Vernes, PDG du groupe et président de la banque Vernes. Il est conseiller du président en charge de la communication et des ressources humaines.

Parallèlement, il acquiert de nouvelles responsabilités au sein du Rassemblement pour la République (RPR). En 1982, il est secrétaire de la circonscription de Rueil-Saint-Cloud-Garches et membre du comité exécutif des Hauts-de-Seine auprès de Charles Pasqua, secrétaire départemental du RPR.

Il rejoint l’équipe nationale du RPR en 1986 et devient délégué national auprès des secrétaires généraux Jacques Toubon puis Bernard Pons. Il était également membre du Conseil national du RPR. Deux ans plus tard, il est secrétaire national du RPR chargé des groupes parlementaires.

1988 : Député-Maire des Hautes-Alpes

Après les élections législatives de 1986, Jacques Chaban-Delmas, élu président de l’Assemblée nationale, demande à Patrick Ollier de reprendre ses fonctions auprès de lui. Il quitte alors Béghin-Say et devient son conseiller politique. Il s’est associé à André Rossinot, ministre des Relations avec le Parlement, pour organiser la nouvelle majorité à l’Assemblée nationale.

En 1988, dans le cadre de la préparation des nouvelles élections législatives, suite à la dissolution de l’Assemblée nationale par le président François Mitterrand, Patrick Ollier est sollicité par Jacques Chirac et les dirigeants nationaux du RPR pour être candidat dans les Hautes-Alpes. Ainsi, Patrick Ollier, après avoir été un collaborateur de Paul Dijoud, ancien adjoint au maire de Briançon pendant quatre ans, se présente face à l’adjoint au maire en exercice, Robert de Caumont (PS).

Les élections législatives de juin 1988 furent un échec pour la droite. Seul Patrick Ollier l’emporte face à un titulaire de gauche. Il devient député des Hautes-Alpes puis maire de La Salle-les-Alpes-Serre-Chevalier en 1989 et conseiller général en 1992. Il est reconduit dans ses fonctions jusqu’en 2001, date de son retour à Rueil-Malmaison.

En 1990, lorsque Jacques Chirac le nomme secrétaire général adjoint du RPR chargé de l’animation avec Alain Juppé, il développe simultanément le secteur économique de la vallée de Serre-Chevalier et de sa station. Il la fait ainsi passer de la 15ème à la 5ème place des stations de ski françaises en 12 ans. Il a également été élu en 1990, Président de la société mixte des remontées mécaniques de Serre-Chevalier qui emploie 400 personnes.

L’intérêt de Patrick Ollier pour la protection de l’environnement et des sites classés l’a conduit à être élu trois fois, en 1992, 1996 et 1998, à la présidence du Parc national des Écrins, le plus grand parc national d’Europe. Ce poste lui a permis de travailler en étroite collaboration avec Corinne Lepage, alors ministre de l’Environnement, et de préparer la création de la Conférence des présidents des parcs nationaux français qu’il a présidée de 1992 jusqu’à la fin de ses mandats dans les Hautes-Alpes.

En 1996, il fonde et préside la communauté de communes du Briançonnais qui regroupe 11 communes et rassemble ainsi 20 000 habitants.

1991-1998 : forte implication à l’Assemblée nationale

À partir de 1991, Patrick Ollier s’implique dans des dossiers importants à l’Assemblée nationale. Il a été membre d’une commission d’enquête sur la viande bovine puis, un an plus tard, vice-président d’une commission d’enquête sur la lutte contre la mafia.

En 1993, il est nommé juge à la Haute Cour de Justice et à la Cour de Justice de la République pour la durée de son mandat. La même année, il est également élu vice-président de la Commission de la production et du commerce (anciennement Commission des affaires économiques, environnementales et territoriales).

Il est nommé rapporteur de la loi d’orientation pour l’aménagement et le développement du territoire, dite loi Pasqua, en 1994.

En 1996, Patrick Ollier est membre de la commission d’enquête sur la Corse et du Conseil national du tourisme jusqu’en 1999. Il est élu en 1998 président de la commission permanente du Conseil national de la montagne et vice-président de l’Assemblée nationale.

Par ailleurs, il exerce toujours d’importantes responsabilités au sein du mouvement gaulliste, étant notamment délégué général du RPR en charge de l’aménagement du territoire auprès de Nicolas Sarkozy. Il est nommé conseiller politique chargé de la vie du mouvement en 1999 auprès de la présidente du RPR, Michèle Alliot-Marie.

2000: Return to Hauts-de-Seine and Rueil-Malmaison

Le problème de la préparation des élections municipales de 2001 s’est posé en 2000 au sein de la majorité municipale de Rueil-Malmaison. En effet, Jacques Baumel, qui souhaitait se présenter une dernière fois, a proposé à l’équipe municipale de choisir l’homme qui serait présenté aux Rueillois pour lui succéder durant son mandat.

Lors de ces discussions sur l’avenir, les dirigeants des différentes composantes (RPR, UDF, DL, RPF) ont refusé les candidatures qui se sont présentées au sein du RPR, dont notamment celle de Thierry Saussez. Ils décident de demander à Patrick Ollier de rejoindre l’équipe municipale pour préparer la succession de Jacques Baumel. Cette proposition ne pourrait réellement se concrétiser qu’avec l’accord des Rueilloises qui l’ont validée lors des élections avec transparence et clarté.

En 2001, Patrick Ollier est élu et devient adjoint spécial délégué à la politique générale de la Ville et aux finances. L’année suivante, il est élu député de la 7e circonscription des Hauts-de-Seine (Rueil-Malmaison, Garches et Saint-Cloud) aux élections législatives du 16 juin 2002. Son remplaçant est le sénateur Jacques Gautier, maire de Garches, vice-président du conseil général et ancien suppléant de Jacques Baumel.

Le 27 juin 2002, Patrick Ollier devient président de la commission parlementaire de la production et du commerce et engage immédiatement les démarches pour en changer le nom. En effet, le nom de cette commission qui datait de 1959 n’était plus adapté à son champ de compétence particulièrement large. Elle devient alors la Commission des affaires économiques, de l’environnement et des territoires de l’Assemblée nationale. Il le présidera pendant 10 ans.

2004: mayor of Rueil-Malmaison

Patrick Ollier a été élu maire de Rueil-Malmaison avec 43 voix sur 47 votants à l’issue du conseil municipal du 18 juin. Un vote d’unité dans lequel il a reçu les voix du groupe d’opposition « Rueil à venir » qui a rejoint le majorité municipale.

Le 7 mars 2007, Patrick Ollier est élu président de l’Assemblée nationale avec 248 voix sur 267 votants, à la suite de la nomination de Jean-Louis Debré à la présidence du Conseil constitutionnel. Un poste qu’il occupe jusqu’au 19 juin de la même année.

Le 17 juin 2007, il est réélu député de la 7e circonscription des Hauts-de-Seine au premier tour avec 60,29 % des voix. Il choisit Éric Berdoati, maire de Saint-Cloud, comme nouvel adjoint lors de l’entrée de Jacques Gautier au Sénat en mai 2007. Parallèlement, il est réélu président de la commission de l’économie, de l’environnement et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée nationale. Assemblée à l’unanimité de 146 membres.

Le 9 mars 2008, Patrick Ollier est réélu maire de Rueil-Malmaison dès le premier tour avec 59,80% des voix.

Il est nommé conseiller politique de l’UMP (ex-RPR) en 2009.

2010 : Ministre, réélection à Rueil-Malmaison et Présidente de la Métropole du Grand Paris

En 2010, Patrick Ollier devient ministre auprès du Premier ministre chargé des relations avec le Parlement lors du remaniement ministériel du 14 novembre 2010. Il occupe ce poste jusqu’au 15 mai 2012.

Le 17 juin 2012, il est réélu député de la 7e circonscription des Hauts-de-Seine à l’issue du 2e tour des élections législatives. Il est également élu vice-président du syndicat mixte Paris Métropole le 17 décembre de la même année.

En 2013, il est nommé vice-président de l’UMP chargé des Mouvements.

Il était tête de liste « Rueil en confiance » lors des élections municipales de 2014 à Rueil-Malmaison. Il est arrivé en tête avec 56,57% des voix au premier tour. Il a été réélu Maire par le nouveau conseil municipal le 28 mars 2014.

Le 23 janvier 2015, Patrick Ollier est élu président de la Communauté d’agglomération du Mont-Valérien (CAMV), qui regroupe les villes de Rueil-Malmaison, Nanterre et Suresnes, jusqu’en 2016, date de création de l’établissement public territorial Paris Ouest La Défense (POLD).

Le 22 janvier 2016, il est élu Président de la Métropole du Grand Paris.

2020 : réélection à Rueil-Malmaison et dans la Métropole du Grand Paris

Il conduit la liste « Ensemble pour Rueil » lors des élections municipales de 2020 à Rueil-Malmaison. Il est arrivé en tête avec 50,11 % des voix au second tour. Il a été réélu maire par le nouveau conseil municipal le 3 juillet 2020.

Le 9 juillet 2020, il est réélu Président de la Métropole du Grand Paris.

Le 28 septembre 2021, il est élu président du Comité syndical de l’établissement public territorial de bassin Seine Grands Lacs (EPTB).

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Bitcoin le 1er juillet – Le retour des acheteurs propulse le BTC vers les 64 000$ (+4%) ! – .
NEXT un village entier dénonce sa conduite jugée dangereuse, le conducteur condamné