La belle symphonie de Zaho de Sagazan au Grand Piano Festival d’Orléans – .

La belle symphonie de Zaho de Sagazan au Grand Piano Festival d’Orléans – .
La belle symphonie de Zaho de Sagazan au Grand Piano Festival d’Orléans – .

Salle comble pour la première grande soirée du Grand Piano Festival qui a réuni près de 4 000 personnes, vendredi soir, au Campo Santo. Cela faisait longtemps que le cloître n’avait pas vu autant de monde. Et la tête d’affiche, la douce et talentueuse Zaho de Sagazan, les a tous fait danser !

Il fait toujours beau au-dessus des nuages… Et vendredi soir, c’était encore plus beau au Campo Santo. Déjà auréolé de quatre Victoires de la Musique, le très attendu (et applaudi) Zaho de Sagazan a remporté une nouvelle victoire, celle du public orléanais impatient de découvrir « La Symphonie des éclairs » en live. « Bonsoir Orléans, avec mes amis musiciens, on va vous chanter nos petites chansons. N’hésitez pas à tout faire, à danser, on est là pour ça ! »

Avec sa voix puissante et unique, la jeune auteure, compositrice et interprète de 24 ans aime raconter des histoires, celles de ses chansons, et les chanter, avec amour, passant des murmures aux cris. Durant une heure et demie d’un spectacle qui est allé crescendo, elle a emmené et fait danser le public, toutes générations confondues.

Entre émotion et rires, le deuxième Grand Piano Festival d’Orléans est lancé

La soirée a débuté avec Shani Diluka au piano pour une magnifique séance mêlant « des morceaux traditionnels amérindiens et tribaux, additionnés de musique baroque ». La pianiste, premier prix de piano au Conservatoire de Paris, a proposé un moment de rencontre entre « les forces telluriques de Bach » et celles de Philip Glass ou de Daft Punk, ponctué de citations de Jack Kerouac.

La parenthèse électro de Flavien Berger

A sa suite, Flavien Berger a assuré l’interlude électro et acidulé de la soirée. Entouré de ses machines, d’un synthé “pour respecter l’égide du festival”, de structures agrémentées de néons et d’un drapeau de Palestine, le compositeur autodidacte a partagé avec humour “cette expérience musicale commune”.

On le répète : il fait toujours beau au-dessus des nuages… Et Campo Santo.

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Katia Beaupetit

 
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