Felix Blaquière | 28 juin 2024
Pauline Ryskie vit dans sa maison de Val-d’Or depuis cinq ans.
Et pourtant, rien ne garantit qu’elle puisse y rester après le 1er juillet.
C’est son potentiel nouveau propriétaire qui utiliserait des moyens de harcèlement et de tromperie afin de l’évincer afin de privilégier la location aux travailleurs, selon son hypothèse.
La précarité de la situation de Mme Ryskie n’est pas étrangère au président du conseil d’administration de La Piaule de Val-d’Or, Stéphane Grenier.
À la veille du 1er juillet, des informations font état de personnes qui se trouvent dans des situations instables concernant leur logement.
Il souligne également que le sans-abrisme peut prendre plusieurs formes.
Justement afin de prévenir les bouleversements de la crise du logement, la mairesse de la ville de Senneterre, Nathalie-Ann Pelchat, a sondé ses citoyens pendant un mois sur leurs besoins en matière de logement.
https://pubads.g.doubleclick.net/gampad/ads?iu=/21658289790,22170858931/tvaabitibi&description_url=&url=https://tvaabitibi.ca&tfcd=0&npa=0&ad_type=audio_video&sz=640×480&vpa=click&gdfp_req=1&output=vast&unviewed_position_start=1&env=instream&max_ad_duration=30000&vpos=preroll&vpmute=0&impl=s&ad_rules=1&plcmt=1&correlator=__timestamp__
