L’indice de qualité de l’air en 2023 à Angers a été qualifié de bon
2% de l’année et MOYENNE
76% du temps, selon le dernier rapport d’Air Pays de la Loire, association indépendante agréée par le ministère de l’Environnement.
L’air, en revanche, a été jugé dégradé
et même mauvais
respectivement 15% et 7% des jours de l’année dernière.
Au total, six jours ont été concernés par un pic de pollution.
Le mois de juin a été le plus pollué en raison de la présence d’un niveau élevé d’ozone dans l’atmosphère. Ce gaz, amplifié par le rayonnement solaire ultraviolet, peut provoquer de la toux, des lésions pulmonaires et une irritation des yeux.
L’agglomération angevine est également particulièrement soumise aux pollutions induites par le trafic autoroutier (A11, A85 et A87), précise l’association.
Il constate également, cette fois à l’échelle régionale, l’influence de la pollution longue distance
sur ses stations de mesure, reliées avec le changement climatique
.
Les incendies de forêt au Canada à Madère, les sables du Sahara et le brûlage de la biomasse associés à une odeur de brûlé intense
ont ainsi généré à plusieurs reprises de fortes augmentations des taux de particules fines.