Promesses d’une troisième édition pour les haras mécaniques – Le Petit Journal

Promesses d’une troisième édition pour les haras mécaniques – Le Petit Journal
Promesses d’une troisième édition pour les haras mécaniques – Le Petit Journal

Remontée lente des modèles de collection le long de l’avenue Victor-Hugo pour un tour de ville remarquable. Crédits : Camara

Au haras de Rodez, le patrimoine bâti se conjugue parfois harmonieusement avec le patrimoine roulant. En témoigne l’événement Mechanical Stud, qui s’est avéré suffisamment réussi pour durer.Les organisateurs des Calandres du Monastère, son président fondateur Clément Teulières en tête, accompagné d’un bureau animé par l’enthousiasme, ont pris acte du souhait des élus locaux de voir une grande fête de l’automobile dès juin 2025, toujours dans le périmètre du rêve. des haras. Et pour cause : 1 200 visiteurs le samedi 15 juin, plus de 3 000 le dimanche 16 juin, 400 à 500 allées et venues incessantes de voitures anciennes tout au long du week-end, deux sorties d’une trentaine de véhicules d’avant-guerre dans un large tour de ville. via l’avenue Victor-Hugo, il aurait été bien difficile d’espérer davantage.
« Le succès a été total, inattendu. Il suffisait d’observer le public pour comprendre à quel point ce type d’animation peut faire du bien à tout le monde. commente Patrick Sounillac, fervent pilier du Haras Mécaniques, désormais tourné vers l’avenir du club du Monastère avec une forte détermination. Les centres d’intérêt étaient nombreux et alimentaient la curiosité pour les beautés d’antan, parfois accompagnées de véritables raretés. En témoigne l’irrésistible Citröennette, regardée sous toutes les coutures par un public ravi. La voiture de cet enfant est toute une histoire. En 1924, cherchant à se diversifier, Paulin Ratier, fondateur de l’entreprise éponyme basée à Figeac, conçoit une reproduction à l’échelle 1/3 de la voiture la plus populaire de l’époque, la 5 CV Citroën : un superbe jouet à pédales équipé d’une ingénieuse transmission inspirée par la voiture la plus répandue de l’époque : la Citroën 5HP, également appelée Trèfle.

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