La Nati ne devrait pas avoir de complexes face à cette équipe italienne qu’elle avait tenue en échec à Rome en novembre 2021 (1-1) et était en tête dans la course à la qualification pour la Coupe du monde 2022. Cette Nazionale n’affiche d’ailleurs pas la même qualité qui lui a permis de devenir championne d’Europe lors de la dernière édition, quelques jours après avoir largement dominé les troupes de Yakin en phase de poules (3-0).
Donnarumma comme un atout
Comme face à l’Espagne quelques jours plus tôt, la sélection de Luciano Spalletti a en effet eu toutes les difficultés du monde à paraître dangereuse. Seule une tête de son défenseur Alessandro Bastoni a inquiété Livakovic (27e) avant le coup de génie du sauveur Zaccagni.
Entre temps, les Croates pensaient avoir fait le plus dur grâce à un but de Luka Modric (55e), une minute après que Donnarumma ait stoppé un penalty tiré par le Ballon d’Or 2018. Le gardien italien sera l’atout principal de la Squadra Azzurra face à la Suisse. Il devra toutefois se passer de son défenseur Riccardo Calafiori, qui sera suspendu samedi, tout comme Silvan Widmer, buteur lors du dernier duel entre les Suisses et les Transalpins.
Trois sur trois pour l’Espagne
Déjà assurée de la première place du groupe B, l’Espagne a de son côté fait le boulot en détruisant les minces espoirs de qualification de l’Albanie. La Roja de Luis de la Fuente, qui a procédé au total à dix (!) changements pour ce troisième match, n’a eu besoin que d’un but de Ferran Torres en première période (13e) pour s’imposer 1-0.
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