Un appel national à la grève a été lancé par les syndicats de la SNCF pour le jeudi 21 novembre 2024. Le trafic sera impacté dans toute la France. Dans les Hauts-de-France, 2 TER sur 3 circuleront. Le point sur les perturbations.
Les essentiels du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve la meilleure actualité régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en contact avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse email pour vous envoyer la newsletter « Les incontournables du jour : notre sélection exclusive ». Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien présent en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité
1ᵉʳ acte avant une éventuelle grande grève renouvelable à l’approche des vacances de Noël, les syndicats de la SNCF ont appelé au blocus sur tout le territoire jeudi 21 novembre 2024. Les Hauts-de-France ne seront pas épargnés. “2 trains TER sur 3 circuleront dans toute la région» a communiqué la direction des relations territoriales et de la communication du TER Hauts-de-France.
2 trains TER sur 3 circuleront dans toute la région.
La compagnie ferroviaire conseille aux voyageurs de la région de «vérifier la circulation de son train sur le site TER Hauts-de-France, SNCF Connect ou toute autre application de mobilité avant de se rendre en gare. Les horaires des trains seront disponibles la veille à partir de 17h00
Pour les voyageurs des trains TGV Inoui et Ouigo, la SNCF a annoncé que «la circulation sera presque normale» dans toute la France. Mais les prévisions sont moins optimistes pour les trains régionaux, seuls 7 sur 10 devraient circuler dans toute la France.
Les quatre syndicats de la SNCF – CGT-Cheminots, Unsa-Ferroviaire, Sud-Rail et CFDT-Cheminots – ont appelé à la grève pour dénoncer le démantèlement de Fret SNCF, première entreprise française de transport de marchandises par rail. L’entreprise devrait disparaître au 1er janvier pour être remplacée par Hexafret pour le transport de marchandises et Technis pour la maintenance des locomotives.
François Durovray, ministre chargé des Transports, a déclaré mardi 19 novembre au matin qu’il suffisaitdubitatif sur ce mouvement social, d’autant plus qu’il n’y a pas d’autres hypothèses possibles» que le démontage.