L’investissement de l’État dans les transports publics, un vieux contentieux genevois

L’investissement de l’État dans les transports publics, un vieux contentieux genevois
L’investissement de l’État dans les transports publics, un vieux contentieux genevois

Publié le 19 novembre 2024 à 08h06. / Modifié le 19 novembre 2024 à 10h18.

Électrification des bus diesel, extension du tramway à la voisine, extension du réseau au large de la campagne genevoise : en concluant récemment le contrat de service quinquennal des TPG, les députés ont infligé un coup d’arrêt à la croissance des transports en commun. Les élus étaient dubitatifs sur l’allocation de 2 milliards de francs pour la période 2025-2029 qui devrait permettre à l’autorité d’augmenter son offre de 30 %.

Les moyens alloués aux transports publics ont souvent représenté un sujet de tension à Genève. En effet, le canton a été pionnier dans le développement de l’automobile, et les autorités ont longtemps été réticentes à investir dans les transports publics, expliquent dans leurs ouvrages l’historien Ludovic Maugué et l’écrivain Moreno Berva.

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