12 à 13 ans de réclusion criminelle requis pour une mère accusée d’infanticide

12 à 13 ans de réclusion criminelle requis pour une mère accusée d’infanticide
12 à 13 ans de réclusion criminelle requis pour une mère accusée d’infanticide

« Depuis lundi, la cour d’assises demande à Naïma Bel Allam d’apporter des preuves de la vie de ses enfants. Pendant l’instruction, il a également…

« Depuis lundi, la cour d’assises demande à Naïma Bel Allam d’apporter des preuves de la vie de ses enfants. Au cours de l’enquête, il a également été suggéré qu’il le fasse, par l’intermédiaire de ses avocats, pour garantir qu’aucune recherche ne serait entreprise. La découverte d’un corps ne constitue pas un élément de meurtre. Nous pouvons avoir une profonde conviction parce que nous avons pu examiner et débattre le cas et que toutes les parties ont pu s’expliquer. » Chargée de porter l’accusation d’acte meurtrier contre Inès et Nawal, deux jeunes filles polyhandicapées disparues à Nérac depuis décembre 2016, l’avocat général a exposé les invraisemblances multipliées par l’accusée pour établir sa certitude de la culpabilité de la mère. dans ce « cas extrêmement particulier, comme l’audience, particulier. »

Corinne Chateigner a requis contre Naïma Bel Allam une peine de douze à treize ans de réclusion criminelle, assortie d’un suivi socio-judiciaire comprenant une ordonnance de traitement de trois ans. Et deux ans d’emprisonnement, en cas de non-respect de la mesure.

« Je ne conteste pas qu’elle a toujours voulu le meilleur pour ses filles, qu’elle s’est souvent battue seule, avec ces soins quotidiens lourds, impossibles. Agir sur ses enfants, sous forme de médicaments, en raison d’un tel épuisement, est répréhensible et explicable. »

 
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