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Éditorial L’Impartial
Publié le
17 nov. 2024 à 18h26
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Elle est entourée de sa famille, du personnel médical de l’établissement et du José Cerqueira, maire de Gisorsaccompagné de l’assistant Chrystel Vivier-Cerqueira ainsi que Michel Jonquet du centre hospitalier de Gisors qui Denise Gaza a récemment soufflé ses cent bougies.
Née le 27 octobre 1924 à Sérifontaine, cette enfant du pays a grandi entourée du bruit et de l’odeur du tabac du bar de ses parents, le Café des Sports.
Son père, Stanislas GazaL’émigré polonais, en route pour les Etats-Unis avec ses deux frères, s’y installe définitivement après être tombé amoureux de sa mère, Marie-Louise Crevet.
Jeune fille espiègle, bavarde et turbulente, Denise Gaza est pourtant une bonne élève en classe.
A 22 ans, elle s’est mariée Charles Frottin Né le 12 juillet 1946, également originaire de Sérifontaine, et ouvrier à l’usine de Tréfimétaux.
Une vie plus sereine
Après avoir servi dans le café-restaurant de ses parents, Denise va travailler au guichet de la poste du village.
Avec la naissance tardive de leur fille unique, Marie-Lise, Denise Gaza a arrêté de travailler.
S’ensuit une vie de famille simple et heureuse, rythmée par des fêtes, des rassemblements familiaux et amicaux toujours très joyeux.
La naissance de Marine en 1995 puis d’Alice en 2000, ses deux petites filles, le comble du bonheur. En revanche, elle sera très affectée par le décès de son mari le 18 octobre 2018.
Après trois années éprouvantes de veuvage, elle rejoint le Champs de fleurs où elle se sent depuis plus heureuse, et davantage entourée de professionnels et de « camarades » « bienveillants et compétents » qu’elle chahute gentiment…
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