Lucas Muller, 18 ans, et son temple de collectionneur vintage

Lucas Muller, 18 ans, et son temple de collectionneur vintage
Lucas Muller, 18 ans, et son temple de collectionneur vintage

Lucas Muller aime une chose plus que tout : les antiquités. Ne vous fiez pas à ses 18 ans, il adore le Formica, le plastique et les choses flashy. Adepte des salons et des brocantes, il a lancé dimanche 17 novembre sa boutique à Baronville avec le soutien de ses parents.

“Ressortir”

Dans la remise aux hauts plafonds des Muller, au 8 rue Principale à Baronville, le sapin de Noël est déjà habillé en conséquence. Cela rappelle un souvenir à Angélique, la mère du collectionneur : « Lorsqu’il avait 8 ans, il participait à un concours télévisé de décoration de Noël. Il s’est immédiatement démarqué. » Le jeune adulte précise fièrement : “En même temps, tous les éléments de décoration dataient des années 80, ce n’était pas Gifi”.

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Avec cette histoire, on comprend que Lucas a toujours été mêlé à cet esprit chineur. Le garage de ses grands-parents lui faisait déjà penser à un comptoir de brocante : « Je l’appelais ma boutique éphémère. Désormais, ma véritable entreprise naîtra le 17 novembre. C’est un rêve devenu réalité.

N’hésitez pas

Mais comment trouve-t-il ces trésors ? « J’aime quand c’est en plastique, quand c’est coloré et quand ça « pop ». J’adore la pop culture », explique sans hésiter le chineur. Comme les périodes de chasse, il recherche une catégorie précise selon les moments. « Au début de l’année, je ne pouvais m’empêcher de chercher des yaourtières. Avant, c’étaient des téléphones à cadran ou encore des cartons d’œufs. »

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Lucas n’est pas seulement un collectionneur compulsif. Il nettoie et rénove pour allier beauté et utilité. Les vieux téléphones sont graissés pour glisser parfaitement sous les doigts et les lampes électrifiées pour une consommation plus décente. « Même si les plombs ont explosé plus d’une fois », taquine Hervé, son père.

Un peu de réputation

Pour le retrouver sur les salons, rien de plus simple. Son sweat mandarine floqué « La passion du vintage » lui donne des airs d’homme orange de Michel Jonasz. Un goût assumé pour le grand admirateur de Casimir.

« Les acheteurs s’adressent d’abord à mes parents avant de me pointer du doigt. Sinon, en dehors des salons, les locaux me connaissent. Mes professeurs et mon CPE au lycée m’ont même demandé de leur mettre des choses de côté», se souvient l’homme d’affaires. Actuellement en CDI chez Action, il espère un jour devenir propriétaire de sa boutique à temps plein.

Plus d’informations sur la page Facebook : Lapassionduvintage.

 
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