Eva Blanc, championne de de sports adaptés, a le dans le sang

Eva Blanc, championne de de sports adaptés, a le dans le sang
Eva Blanc, championne de France de sports adaptés, a le tennis dans le sang

Eva Blanc a 17 ans et le est dans son sang. Elle a frappé sa première balle en 2010, alors qu’elle n’avait que 2 ans et demi. Six ans plus tard, elle était membre du club de tennis du village.

La jeune fille compte huit titres de championne individuelle de Lot-et-Garonne, 260 matchs homologués et a été bénévole aux Jeux olympiques, à Roland-Garros, en juillet. Membre de l’équipe de des sports adaptés depuis trois ans, elle est montée pendant deux ans sur la deuxième place du podium mondial et a remporté trois fois le titre national. En 2023, elle a participé aux Virtus Global Games, une compétition sportive prestigieuse destinée aux athlètes atteints d’un handicap mental ou de troubles du spectre autistique, où elle a remporté deux médailles d’or et une d’argent.

Eva a également été invitée à participer à l’Open d’Australie en janvier et aux championnats du monde au Kazakhstan en mai. Plus localement, elle a remporté à six reprises le titre départemental FFT.

Sur terre battue

Scolarisé de la maternelle à la 3èmee À Castelmoron-sur-Lot, elle est actuellement en dernière année de contrôle qualité professionnel au lycée Étienne-Restat, à Sainte-Livrade-sur-Lot. Depuis cette année, elle est licenciée à l’ASPTT d’Agen, où elle peut s’entraîner sur terre battue. Classée 5/6, Eva fréquente les courts tous les jours, avec des personnes mieux classées, et joue des matchs le week-end.

Pour entretenir sa forme et progresser encore, elle peut compter sur son frère Louis, qui a commencé le tennis à 4 ans et demi. Le jeune homme, plusieurs fois champion départemental, a également été ramasseur de balle à Roland-Garros. Classé 3/6, il a passé le Brevet Professionnel d’Educateur Qualitatif de Tennis, qui lui permet de donner des cours aux enfants, aux adultes et surtout à sa sœur, dont il s’occupe beaucoup. Après cinq années d’études, Louis reprend en août le salon de coiffure de sa mère, Charly Coiffure, situé sur la place du village.

 
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