Le réseau d’accompagnement BGE lance la quatrième édition de BGE Talents pour la création d’entreprise. 38 parcours de vie sélectionnés dans toute la France mis en avant chaque semaine sur le site de BGE et dans une websérie de 14 épisodes (1 par région), diffusée à l’automne, suivant le parcours d’un des entrepreneurs. L’objectif : observer la réalité entrepreneuriale à travers le parcours de ceux qui créent.
Dans le cadre de cette opération dédiée à l’entrepreneuriat, organisée en partenariat avec le Crédit Mutuel et Les Échos Entrepreneurs, toutes les structures BGE en France ont nominé leur Talent. Ils se démarquent par leur parcours inspirant, parfois accidenté, leur sens de l’innovation ou encore leur envie de répondre aux défis sociaux, économiques et écologiques actuels en entreprenant des modèles économiques durables et adaptables.
A travers leurs Talents, les 31 structures du réseau BGE souhaitent valoriser ces dirigeants de petites entreprises qui prouvent au quotidien leur résilience, leur inventivité et leur capacité à rebondir.
Anly Yachourtu a créé MayGame à Sada – Son portrait en vidéo ! Inspiré par l’idée de contribuer au développement de Mayotte, il crée avec ses frères MayGame, une salle de jeux et d’e-sport. Ce projet familial vise à réduire la fracture numérique en proposant un espace de jeu connecté via Starlink, rendant le jeu accessible grâce à des tarifs abordables et un système d’abonnement. Anly utilise ses compétences en communication pour renforcer la visibilité de l’entreprise sur les réseaux sociaux. Grâce au soutien de BGE Mayotte, MayGame a pu obtenir des aides et renforcer son modèle économique. L’espace comprend une buvette, favorisant les échanges intergénérationnels et la convivialité.
Talents BGE, c’est aussi une websérie tournée en France. 14 épisodes – un par région – sont actuellement diffusés. Cette série s’invitera dans le quotidien de ces « entrepreneurs d’à côté » pour témoigner d’une réalité entrepreneuriale bien éloignée des idées reçues. Une déclaration rare qui permettra de porter un nouveau regard sur les 4 millions de « très petits entrepreneurs » français.