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que deviennent les Lot-et-Garonnais de l’année dernière ? – .

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l’essentiel
Après un travail acharné, Pauline et Damien reviennent sur leurs examens du baccalauréat en 2023 et se lancent, avec optimisme, dans des chemins ambitieux et pleins de promesses.

C’est le grand jour ! Ce vendredi 14 juin n’est pas comme les autres pour les lycéens en France, puisqu’il donne le coup d’envoi des hostilités pour le redoutable baccalauréat. Stress, fatigue ou confiance, c’est l’aboutissement de trois années de travail. Ce matin, la première épreuve de l’année laissera place au français écrit pour les classes de CP. En pleine révision, les futurs bacheliers attendent l’épreuve de philosophie qui aura lieu le mardi 18 juin, celles de spécialités du mercredi 19 juin au vendredi 21 juin, et bien sûr, le grand oral, du 24 juin au 3 juillet. après ? Pauline et Damien, deux bacheliers 2023, reviennent un an en arrière pour raconter.

Un diplôme plus simple qu’avant ?

Diplômé du lycée Georges-Leygues de Villeneuve-sur-Lot, Damien est clair : « Selon moi, ce baccalauréat était nettement plus simple que les années précédentes. Avec l’introduction du contrôle continu dans la note finale, l’issue des résultats est modifiée. « J’ai beaucoup travaillé au lycée, mais j’ai aussi eu la chance d’avoir des professeurs qui me surclassaient parfois. »

De son côté, Pauline cumulait la vie en internat au lycée Bernard-Palissy, à Agen, spécialité mathématiques, physique, chimie et Numérique et Informatique (NSI), options latines et mathématiques expertes, ainsi que la section Bachibac. «J’ai dû travailler beaucoup», dit-elle. J’ai fait l’erreur d’arrêter le NSI au profit de la physique et ça a été compliqué pour moi. Le plus difficile a été l’épreuve de Bachibac car on s’attendait à tout sauf à ce qu’on a eu. Heureusement, notre professeur nous avait très bien préparés. Finalement, j’en ai eu 19. »

Succès et espoir

Le mardi 4 juillet 2023, c’est la libération. Quel soulagement lorsque Pauline obtient 17h42, très bonne mention. « Pour Parcoursup, j’ai postulé en licence d’information à l’université de Pau, raconte Pauline. « Je savais qu’on regardait surtout les notes des spécialités scientifiques donc j’ai tout donné, et j’ai été directement accepté. Aujourd’hui, je peux dire que j’ai tellement travaillé au lycée que l’université vient tout naturellement. C’est encore plus simple et tout est très intéressant.

De son côté, Damien, avec une note de 18,27, a remporté les félicitations du jury. Par la suite, il est accepté à l’Enseirb – Matmeca, école d’ingénieurs bordelaise spécialisée en physique et informatique. « Même si le voyage est difficile, j’ai terminé mon 1D année et je suis fier du chemin parcouru », conclut Damien, plein d’espoir dans la voix.

Le baccalauréat il y a 10 ans…

Juin 2014, lycée Bernard-Palissy à Agen, Louise obtient son baccalauréat. A cette époque, il n’était pas question de spécialités. Trois filières s’affrontent dans les cursus du lycée français : Scientifique (S), Littéraire (L) et Economique et Sociale (ES). « Toutes les spécialités comme la HLP (Littérature Humaine et Philosophie) n’existaient tout simplement pas », rappelle-t-elle. « On nous mettait beaucoup de pression et le plus stressant c’était la quantité de matières à réviser. » Étant en secteur L, Louise avait entre 30 et 50 textes à apprendre pour le test de français par exemple.

Avec une note de 16,52 et une très bonne distinction, Louise a bouclé les trois années de sa licence d’anglais avant de se lancer dans un master en journalisme à l’ESJ de Paris. « J’écrivais déjà en free-lance pour la Dépêche du Midi. Maintenant, je suis journaliste pour eux. J’aimerais continuer dans cette direction, car c’est ce qui correspond le plus à mon profil. Si l’occasion se présente, j’aimerais essayer la radio ou la télévision.

 
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