les larmes du skipper Sébastien Simon avant le départ, parlant de la séparation d’avec son chien

les larmes du skipper Sébastien Simon avant le départ, parlant de la séparation d’avec son chien
les larmes du skipper Sébastien Simon avant le départ, parlant de la séparation d’avec son chien

Sébastien Simon s’est exprimé avec émotion au micro de RMC Sport avant le grand départ des Sables-d’Olonne du Vendée Globe ce dimanche. Les séparations ont été très émouvantes avec sa famille… et son chien.

C’est l’heure du départ, des larmes et des adieux. Ce dimanche, à 13h02 (à suivre sur BFMTV), les 40 marins en lice pour la 10e édition du Vendée Globe s’élanceront pour la célèbre course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance.

>> EN DIRECT – Suivez le grand départ du Vendée Globe

Avant de prendre le large, acclamés par près de 500 000 personnes, les concurrents sont tous invités à descendre le mythique canal des Sables-d’Olonne, dont les quais étaient déjà bondés bien avant le lever du soleil. Les marins doivent parfois faire face à des séparations très émotionnelles d’avec leurs proches.

Il avait prévu de lui envoyer des messages vocaux

S’adressant à RMC Sport, Sébastien Simon avait du mal à cacher son émotion à quelques heures du départ : « J’ai envie de partager ces derniers instants avec ma famille, mon équipe et mes partenaires qui sont tous là sur le ponton. Nous n’avons pas beaucoup de temps pour nous dire au revoir. Cela a été une nuit mouvementée quand nous partons ainsi faire un tour du monde et laissons notre confort derrière nous, ce sont des moments très difficiles. mer pour que les émotions soient derrière moi.

“J’ai dit dès l’ouverture du village que je voulais vivre ces émotions comme un spectateur et je me suis un peu pris à mon jeu”, a raconté le skipper vendéen, sponsorisé par le groupe Dubreuil, qui a été contraint d’abandonner sa première Vendée. Globe il y a un an en raison de dommages excessifs sur son bateau.

« Cela fait trois jours que j’ai du mal à contenir toutes mes émotions. Mais c’est aussi très beau», a ajouté le marin de 34 ans, particulièrement ému à l’idée d’être séparé pendant plusieurs semaines… de sa chienne Chiffon. « C’est ridicule de pleurer pour un chien… Mais oui, elle est à la maison. Je la reverrai dans deux mois et demi. Je lui enverrai des ‘voix’ (messages vocaux, NDLR), comme je l’ai fait lors du premier Vendée», a-t-il déclaré au bord des larmes.

 
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