La croupe du matin.
Philippe Salvat / SO
Le 22e L’édition concoctée par la peña Toro blanco locale a débuté samedi par une conférence sur les écoles taurines et plusieurs temps d’échanges, notamment avec les matadors le lendemain. Leur entrée en piste, ce dimanche à 11 heures, a été précédée du traditionnel combo café – pastis landais – croupes de canard grillées dont une majorité du public (la moitié de l’arène au total) n’a pas dérogé. Et puis quatre taureaux de la famille Jalabert se sont présentés.
Julio Norte, Alejandro Mora, Christian Parejo et El Rafi.
Philippe Salvat / SO
Hommages et oreilles
En préambule, le président du Toro blanco peña et vice-président du cercle taurin du Rionnais Bernard Dehez a rendu hommage à quatre personnalités locales décédées cette année : Bernard Dussarat, Jean-Louis Deyris, Bernard Dabadie et Jean-Marc Brouch.
Quelques instants plus tard, Julio Norte, le meilleur novillero sans picadors de l’année 2024 selon les critiques taurines du Sud-Ouest, recevait sa coupe d’argent.
El Rafi a combattu le premier toro avec habileté et élégance.
Philippe Salvat / SO
L’élève de José Ignacio Sánchez, vainqueur du non-piqué de la dernière Madeleine, a obtenu une oreille (à l’appréciation du public) comme Alejandro Moja et El Rafi. L’enfant de Cadix mais de Béziers par adoption, Christian Parejo, en a coupé deux. Le repas des aficionados, servi d’emblée, a conclu cette édition de la Fiesta campera, et avec elle la saison 2024.
