Par
Benjamin Épineau
Publié le
9 novembre 2024 à 7h16
Voir mon actualité
Follow L’Écho de la Presqu’île
Fin septembre 2024, Marie Christine Roy s’efforce d’accueillir au mieux les personnes inscrites. Une fois par mois, le vice-président et chef du service Nouveautés au sein de l’AVF (Foyer des villes françaises) La Baule (Loire-Atlantique) organise un déjeuner avec des néo-Baulois. A cette occasion, nous avons rencontré Sophie, Marie-Dominique et Jean-Philippe, ravis de leur installation.
«Je trouve tout ce dont j’ai besoin, notamment culturellement»
A tout juste 69 ans, Sophie s’est installée à La Baule début 2023. Comme une évidence pour cette ancienne Parisienne :
Après le Covid, je me suis dit qu’il fallait absolument quitter une grande ville et venir dans un endroit beaucoup plus doux et calme. Je connaissais La Baule car j’y passais régulièrement mes vacances. Pour moi, c’est comme un retour.
Un choix qu’elle ne regrette absolument pas. « Je trouve tout ce dont j’ai besoin, notamment sur le plan culturel : Atlantia propose de belles choses, les festivals s’enchaînent, les premières des films au Gulf Stream et les cinémas Pouliguen et Pornichet proposent davantage de films. indépendant. »
« Toute ma famille et mes amis veulent venir me voir »
Un bonheur qu’elle partage avec sa famille et ses amis :
« Ils veulent absolument tous venir et non seulement ils viennent, mais ils reviennent. Pour eux, c’est comme une sorte de thalassothérapie dans un climat et un rythme plus relaxants et revigorants.
Vivant seule, Sophie a décidé de s’inscrire à l’AVF pour nouer des relations. « J’ai été accueilli à bras ouverts. On me propose tellement d’activités que j’ai du mal à les choisir. La réunion sociale se passe bien. Seul bémol pour ce nouveau pensionnaire : « les tempêtes ».
A La Baule, mais rivé sur Pornichet
Pour Marie-Dominique et Jean-Philippe, 63 et 64 ans, il fallait « trouver l’équation entre qualité de vie et proximité avec la plage et sois près d’une grande ville ».
Ils ont donc déménagé début janvier à La Baule pour y passer leur retraite après être tombés amoureux… de Pornichet et du quartier de la gare.
« Nous avons bâti sur Guézy, en saisissant une opportunité il y a 3 ans. Une maison remise en vente même si le gros œuvre a été réalisé. Nous avions 48 heures pour nous décider», se souvient le couple qui a vécu à Fontenay-aux-Roses et travaillé à Paris pendant plus de 30 ans.
Même si Marie-Dominique continue de travailler, les nouveaux Baulois semblent ravis de leur choix: plage à pied, calme, moins d’incivilités et plus sécuriséqu’en région parisienne… « Il y a aussi de nombreuses associations, notamment à Saint-Nazaire ».
Suivez toute l’actualité de vos villes et médias préférés en vous abonnant à Mon Actu.