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«Une bonne aide passe par une première planification», explique la lieutenant-colonel Valérie Fillebien, du SDIS 76

«Une bonne aide passe par une première planification», explique la lieutenant-colonel Valérie Fillebien, du SDIS 76
«Une bonne aide passe par une première planification», explique la lieutenant-colonel Valérie Fillebien, du SDIS 76

Un an après la tempête Ciaran, la lieutenant-colonel des pompiers de Seine-Maritime, Valérie Fillebien, revient sur ce moment qui a mobilisé les secours et fait le point sur les dispositions liées au changement climatique pour les pompiers.

« Les épisodes de vent fort en Seine-Maritime, c’est quelque chose que l’on connaît bien puisqu’environ une fois par an, il y a ce type d’évènement météorologique »explique la lieutenant-colonel Valérie Fillebien, à propos de la tempête Ciaran, qui a balayé, entre autres terres, la Normandie, il y a tout juste un an. “Nous avons réalisé environ 680 interventions sur les trois jours, entre le 1er et le 3 novembre.”

Sur la question d’anticiper cette tempête, Valérie Fillebien explique qu’elle est « en contact avec des experts météo ». « Nous avons deux experts météo au sein des pompiers de Seine-Maritime, qui nous apportent leur concours, cela nous permet de prévoir les différents scénarios d’événements possibles et de choisir les meilleures stratégies d’action, ils nous aident à anticiper, car bien aider, c’est déjà planifier. Notre invité nous dit également d’inciter les maires à « développer et travailler sur » leurs plans communaux de sauvegarde, pour être bien préparés en cas d’événements.

Valérie Fillebien explique également que les pompiers adaptent et font évoluer leurs pratiques d’intervention avec les changements climatiques.

 
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