Louis Aliot apparaît comme un maire modèle de Perpignan, Marine Le Pen galvanise sur l’immigration

Louis Aliot apparaît comme un maire modèle de Perpignan, Marine Le Pen galvanise sur l’immigration
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En cette date symbolique du 1er mai, transformée en meeting de campagne à Perpignan par Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national pour les élections européennes, la chef de file du parti Marine Le Pen et le numéro 2 Louis Aliot, maire de Perpignan, sont venus soutenir le candidat. . Surfant sur la ferveur de la foule des sympathisants.

Pas de déclaration fracassante. En 81e Position inéligible pour clôturer la liste Rassemblement national de Jordan Bardella aux élections européennes du 9 juin, Louis Aliot a brièvement joué le maître de cérémonie ce mercredi 1er mai pour ouvrir le meeting d’extrême droite à Perpignan. Le maire de la plus grande ville RN de est resté fidèle à son rôle d’animateur. Entre figure prototypique et fidèle soldat, il a appelé à la mobilisation pour son ancien rival à la présidence du parti de Marine Le Pen et a repris tous les clichés frontistes sur « le désastre Macron ». « Perpignan n’est pas un laboratoire du RN mais plutôt un cas d’école de ce qui a été fait. Ils ont permis à la drogue et au communautarisme de s’installer et à des familles entières de s’appauvrir. » il chante. “Perpignan est une photographie de la France qui souffre, qui perd ses valeurs et son identité, que le pouvoir parisien méprise”. Jordan Bardella rend la courtoisie”Louis Aliot, vous êtes devenu l’un des emblèmes de la gestion municipale RN. Et grâce à toi, mon cher Louis, Perpignan radieuse relève la tête.

Le tableau du misérabilisme est dressé. Il suffit à Marine Le Pen d’ajouter sa touche de noirceur à « systèmes vicieux » de l’Union européenne « sourd et aveugle à la misère des gens« . Transition énergétique, fiscalité, agriculture, souveraineté alimentaire… « Il y a une logique de déclin dans tous les domaines. Il n’y a que dans la politique migratoire qu’ils refusent de la mettre en place”. La parole se libère et suffit à galvaniser la foule. Alors Marine Le Pen le remet »l’Europe des nations », « la préférence nationale », « la défense de l’esprit français » et le « bouclier migratoire« . C’est sur ce terrain que se livrera la bataille électorale. Sur le front de Bardella, nous le savons bien. Et dans une version qui se veut plus nuancée que celles d’une Marion Maréchal ou d’un Eric Zemmour, on continue inlassablement de tirer sur la fibre patriotique, creusant l’écart dans les sondages tout en essayant de garder les rangs serrés autour de deux messages : « Les vrais ennemis, c’est l’abstention et la dispersion », Et “la partie n’est pas gagnée”

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