près de 2 000 manifestants dans les rues de la Drôme et de l’Ardèche

Ce mercredi 1euh En mai, fête du Travail, les manifestants sont au rendez-vous pour la traditionnelle mobilisation des travailleurs. Onze points de rassemblement étaient prévus dans la Drôme et l’Ardèche.

En particulier, environ 650 personnes (estimation confirmée par la police) ont défilé dans les rues de Valence à l’appel de tous les syndicats. Ils réclamaient de meilleures conditions de travail et des augmentations de salaires. Dans le cortège, il y avait aussi des élus des partis de gauche, PS, LFI, EELV et PCF.

A Montélimar le 1euh peut. Photo Le DL/Carla Frillici


A Montélimar, le rendez-vous était à 11 heures devant le théâtre. Un peu plus de 150 personnes attendaient les discours puis le départ du cortège.

Mais la pluie tombée juste après les discours a eu raison du défilé dans les rues. Cette dernière a été annulée et chacun s’est séparé.

A Privé, une centaine de personnes ont manifesté ce mercredi. Rassemblement traditionnel en cette fête du Travail. Les syndicats CGT et FSU, comme le parti Europe Écologie-Les Verts, sont notamment présents dans le cortège. Parmi leurs revendications : une augmentation des salaires après la vague d’inflation survenue ces derniers mois.

Hervé Saulignac, député (PS) de la première circonscription de l’Ardèche, est présent.

À Annonay, le 1euh peut. Photo Le DL/Etienne Gentil


A Annonay, environ 250 personnes se sont rassemblées pour participer à la mobilisation. Le cortège est parti à 10h30 de la place de la Libération pour rejoindre le centre-ville.

Au rond-point du 8 mai, une gerbe a été déposée avant les discours. La CGT, comme toujours, était en tête du cortège qui comprenait également des représentants du monde paysan, des enseignants, ainsi que des représentants des partis politiques, remorquant avant les élections européennes du 9 juin.

Ils étaient près de 300 à déambuler dans le centre-ville de Romans sur Isère, mercredi matin, à l’appel de l’intersyndicale CGT, CFDT et FSU. Un chiffre confirmé par la police.

Dans tous les discours : la crainte de voir le Rassemblement National réaliser un score significatif aux élections européennes du 9 juin, la situation en Palestine dans le contexte du conflit entre Israël et le , et localement, le désarroi face à la justice. liquidation de la société Sfam (filiale du groupe Indexia) prononcée fin avril et disparition de plus de 200 emplois.


A Aubenas, le 1er mai. Photo Le DL/Mathias Orain

Si la manifestation traditionnelle commençait sous les parasols à Aubenas, il faisait enfin beau ce mercredi matin. 270 personnes (chiffres CGT et police) ont défilé dans le centre-ville avant de prononcer deux discours intersyndicaux.

Une première intervention devant le centre culturel Le Bournot critiquant « la politique de répression du gouvernement Macron » ; le deuxième sur la place du Château pour faire valoir les paroles des organisations syndicales palestiniennes, ces dernières appelant au soutien contre le « génocide perpétré à par Israël », après l’attaque meurtrière du Hamas contre l’Etat hébreu le 7 octobre.

Selon la police rejointe par Le Dauphiné libéréla mobilisation a eu peu de succès dans le Villages drômois. Seules une cinquantaine de manifestants ont été recensés à Die, une trentaine à Saint-Vallier et à peine 14 à Nyons.

Dans le Villages ardéchoisils étaient 130 à arpenter les rues de Tournon et une vingtaine du côté du Cheylard.

Plus d’ à venir.

#Français

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV « Le Sénégal est un bon élève… » (Eden Messa Gavo, expert en suivi et planification de l’ACBF)
NEXT Journée du Pigeon Sportif : coup d’envoi du football !