« Avec ma maladie, je pourrais attendre la mort, et bien non ! » – .

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Ce sera une grande première pour la . Dans quatre mois, elle accueillera pour la première fois de son histoire les Jeux paralympiques d’été (du 28 août au 8 septembre). Un événement où sont attendus 4 400 athlètes du monde entier.

Parmi celles-ci, on devrait retrouver Thu Kamkasomphou (55 ans, para tennis de table) et Anaëlle Roulet (28 ans, para natation). La première, multiple médaillée paralympique (10 médailles dont 2 d’or), a déjà son billet en poche pour Paris 2024, la seconde est bien partie mais doit attendre la sélection officielle. A l’approche des Jeux, les deux femmes, sponsorisées par L’Oréal, ont accepté l’invitation de Ouest de la France pour échanger au siège du journal à Rennes avec une classe de deuxième, du lycée Les Cordeliers de Dinan (Côtes-d’Armor). Et les étudiants avaient beaucoup de questions à leur poser.

Tess : Comment le sport influence-t-il votre vie personnelle ?

Anaëlle Roulet : J’ai commencé le sport de haut niveau très jeune. J’avais 15 ans. Je pense que ça m’a fait mûrir très vite, j’ai dû prendre rapidement des décisions importantes et gérer ma vie un peu seule, même si j’étais accompagnée de mes parents. Cela m’a également ouvert les portes de la vie adulte dès mon plus jeune âge.

Jeu Kamkasomphou : Le sport était déjà en moi. Dans la cour de récréation, je jouais au foot avec mes amis, aux billes, aux osselets, j’avais toujours envie de gagner. Le sport a toujours été associé à la question de la performance et du résultat. Cela a rythmé durablement ma vie : c’est-à-dire que lorsque je fais quelque chose, j’essaie de réaliser ce que je veux faire. Par contre, quand je sens que je n’ai pas le temps de m’y consacrer…

France

 
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