Des policiers de la Sécurité publique de la MRC des Collines-de-l’Outaouais ont arrêté le policier en question, qui n’était pas en service au moment des événements, dans la soirée du 24 avril.
Le SPVG indique qu’aucun autre détail ne sera divulgué pour l’instant dans cette affaire ou concernant l’agent concerné, afin de protéger l’identité de la victime.
Afin de respecter les procédures habituelles, le SPVG a informé le ministère de la Sécurité publique des allégations portées contre le policier. Le directeur des poursuites criminelles et pénales pourra, une fois l’enquête complétée, déterminer si des accusations pourraient être portées contre le policier.
Le SPVG précise que l’agent en question n’aura aucun contact avec les citoyens dans le cadre de ses fonctions pendant toute la durée de la procédure judiciaire.
« La Direction du SPVG tient à réitérer une fois de plus qu’elle exige que ses policiers respectent les plus hauts standards en matière d’éthique et de normes professionnelles et qu’elle n’hésite pas à mettre en place des moyens et des processus pour instaurer une véritable culture éthique au sein de son organisation», a assuré le SPVG.
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