une journée de sensibilisation à la mémoire d’un jeune de l’Île-du-Prince-Édouard

une journée de sensibilisation à la mémoire d’un jeune de l’Île-du-Prince-Édouard
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Le gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard a souligné la première Journée de sensibilisation à la cyberintimidation de la province, à la mémoire d’un adolescent qui s’est suicidé parce qu’il avait été victime de sextorsion.

Il y a exactement un an, le 25 avril, le jeune Harry Burke17 ans, de la région de Souris, sont décédés.

L’Assemblée législative a adopté à l’unanimité, en mars, le projet de loi d’intérêt privé du député de Souris-Elmira, Robin Croucherpour créer cette journée de sensibilisation.

Nous devons souligner le [cyberintimidation] afin que nous puissions, espérons-le, empêcher que cela ne se reproduise à l’avenirexpliquer Robin Croucher.

Le député est un bon ami de la famille Burke. La mort de l’adolescent démontre le danger de la cyberintimidation et de la sextorsion.

il y a des années, je n’avais pas réalisé à quel point ce problème était grave », « texte » : « Même si j’ai trois enfants âgés de 17, 19 et 21 ans, je n’avais pas réalisé à quel point ce problème était grave « }} »>Même si j’ai trois enfants âgés de 17, 19 et 21 ans, je ne me rendais pas compte de la gravité de ce problème.dit M. Accroupi.

Déjà quelques cas cette année

La Gendarmerie royale du Canada rapporte quelques cas de sextorsion survenus dans la province cette année. Le public lui a signalé huit incidents de leurre et 65 cas de sextorsion en 2023.

La police de Charlottetown gère un programme de sensibilisation des jeunes sur le sujet à l’école.

S’ils le savent, il y a de l’aide pour euxsouligne le sergent Mélissa Craswellde la police municipale.

Le sergent Melissa Craswell est responsable du programme de bien-être communautaire de la police de Charlottetown.

Photo : Radio-Canada / Laura Meader

Le programme informe les jeunes des conséquences de la cyberintimidation. Le sergent Craswell j’espère qu’ils poursuivront cette réflexion avec leurs parents.

Il faut en parler plus largement, selon Mani Moosavi, élève de 12e année à l’école Charlottetown. Il devrait y avoir beaucoup plus de gens qui essaient d’aider les adolescents et même les enfants le savent parce que c’est un très gros problème.

Il dit connaître des personnes qui ont eu des problèmes de santé mentale à la suite de la cyberintimidation.

Une nouvelle stratégie à venir

Le gouvernement élabore une stratégie provinciale de prévention de la cyberintimidation, affirme un porte-parole du ministère de la Justice et de la Sécurité publique.

L’objectif est de donner aux jeunes des outils pour se protéger de la cyberintimidation immédiate et de ses conséquences à long terme, selon le porte-parole.

La journée de sensibilisation n’est qu’une pièce du puzzle, ajoute un député Accroupiun pas vers d’autres initiatives et discussions.

Si ce que nous faisons ici aujourd’hui aide une famille à ne pas avoir à vivre cette épreuve, cela en aura valu la peine.conclut Robin Croucher.

Selon un rapport d’Isabelle Gallant, Radio-Canada

 
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