Un graffiti printanier à Bourbonne

Un graffiti printanier à Bourbonne
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Le succès de la gratiferia d’automne a incité à en créer une deuxième pour le printemps. Le centre Borvo de Bourbonne sera à nouveau le théâtre, avec aux commandes la MJC des Petits Bains et ses amis.

Le printemps favorise le renouveau un peu partout, au jardin comme à la maison. En Alsace, on parle d’Oschterputz, un mot parfaitement imprononçable en France.

La Gratiferia est ainsi l’occasion d’ouvrir placards et serres, afin de faire de la place et de rendre service en donnant aux autres ce qui pourrait encore leur servir.

Chacun peut y déposer et emporter ce dont il a besoin, tout en respectant les règles de bon sens. Pas de raids pour revendre derrière, les organisateurs refusent de jouer le rôle de manutentionnaire pour approvisionner les sites marchands de seconde main.

Déposer, utiliser ou non

Les articles proposés doivent être fonctionnels et propres, notamment les vêtements. Disposés sur des étals thématiques, ils facilitent le choix et évitent l’aspect encombrant des vide-greniers habituels.

Favorisant les valeurs d’échange et de don, les organisateurs mettent l’accent sur l’aspect festif de l’événement qui, s’il ne se veut pas essentiellement caritatif, peut aussi rendre service.

L’autre différence avec un vide-grenier, c’est cette tentative de se passer de l’argent comme monnaie.

Ici, le temps d’un week-end, on peut oublier les euros et revenir au troc ou aux dons. La MJC envisage également la mise en place d’un SEL, un système d’échange local, basé sur l’échange de temps et de services.

(…)

Retrouvez l’article complet dans l’édition du 26 avril ou sur notre boutique en ligne !

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