Mardi 23 avril 2024, en présence d’une quinzaine de personnes, la Ligue Finistère Cancer a tenu son assemblée générale à Brest. En préambule, Michel Robaszkiewicz, son président, a rappelé que « la Ligue est l’une des associations préférées des Français. Elle ne reçoit pas de subventions de l’État et accomplit ses missions grâce à la générosité des donateurs et légataires. Il a également tenu à souligner le rôle essentiel des 101 bénévoles.
Plus de 20 000 donateurs
La Ligue du Finistère compte également 17 salariés, 17 administrateurs, 9 350 adhérents et plus de 20 000 donateurs. En 2023, la Ligue du Finistère a apporté une forte contribution à la recherche, soit 837 660 €. Le partenariat avec les centres E. Leclerc, qui se poursuivra en 2024, a permis de récolter plus de 200 000 €.
Parmi les nombreuses actions de prévention menées, le professeur Robaszkiewicz a souligné la création de 39 espaces sans tabac dans neuf communes du Finistère. “On sait qu’il y a 40% des cancers qui pourraient être évités grâce à des mesures préventives”, a-t-il insisté avant de déplorer le faible taux de participation au dépistage du cancer du sein et le manque de médiatisation. de celui du col. Le praticien a réaffirmé la volonté de la Ligue d’encourager les parents à vacciner leurs enfants (filles et garçons) contre le VPH (papillomavirus).
On sait que 40 % des cancers pourraient être évités grâce à des mesures préventives.
Un changement de locaux prévu pour 2025
En 2024, la Ligue œuvrera à un changement de locaux qui devrait se concrétiser en 2025 sur le territoire de Kergaradec. « Nous souhaitons également, avec les collectivités locales, notamment les communes de Brest et Quimper, monter un projet qui sera financé par la Ligue nationale qui s’appelle ma Ligue de la Ville. Il s’agit d’un appel à projets, nous ne sommes pas encore officiellement sélectionnés. Cela permettra aux collectivités et communes d’obtenir un label Ligue pour mener des actions de promotion et de prévention de la santé, à travers diverses actions dans les écoles, dans les entreprises, etc. », conclut Michel Robaszkiewicz.
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