Le groupe GBH lance son école de formation automobile

Une promotion composée d’une dizaine d’apprentis, âgés de 16 à 29 ans, pour cette nouvelle formation du Groupe Bernard Hayot, qui vise à répondre aux évolutions des métiers de l’automobile, notamment à travers l’arrivée croissante sur le marché des véhicules hybrides ou électriques.

Pour Ketsia Tolassi, directrice de formation à l’école des métiers GBH, s’adressant à nos partenaires de Radio Péyi, la motivation pour faire carrière dans les métiers de la mécanique est la clé des apprentis qui intègrent la formation :
« Nous recherchons des gens qui ont envie d’être mécaniciens, qui ont envie d’être techniciens automobiles, qui ont envie d’aller plus loin, d’approfondir, de découvrir les véhicules électriques, les véhicules hybrides… Après, on se concentrera sur des critères un peu plus formels, classiques. . Notre attente sera de former de nouvelles compétences mécaniques dans la région pour demain. Notre objectif est de nous recruter à long terme ou recherchons des techniciens spécifiques sur les véhicules électriques et hybrides. Nous recherchons des chefs d’équipe, des animateurs d’ateliers, des responsables de centres. Il faut donc avoir des gens qui ont cet esprit d’équipe, cette envie, cette passion du métier, cette envie de transmettre, d’accueillir des jeunes derrière, de manager une équipe, cette compétence client aussi, qui est très importante pour nous, savoir comment expliquer aux clients ce qui s’est passé sur le véhicule, se faire comprendre, donner, être très clair dans ces explications. Nous recherchons donc ce type de profil, un profil évolutif qui souhaite aller plus loin et vraiment faire carrière dans la mécanique.

© Radio Peyi

Continuité pour le groupe GBH, dans une volonté de développer de nouvelles compétences, de former des jeunes Guyanais et Guyanaises, de répondre aux besoins des clients, explique Myriam Jacques, directrice de l’école des métiers GBH : « GBH se lance aujourd’hui dans la formation car GBH s’est très investi dès le départ dans l’intégration des jeunes et l’employabilité des jeunes. En effet, chaque année, GBH accueille 300 jeunes en stage, mais aussi 70 alternants. Donc on a l’habitude de travailler avec ces jeunes et à un moment on s’est dit, il manque peut-être deux ou trois choses, en plus, pour avoir vraiment des gens parfaitement formés à nos métiers et avec Nous. Donc tout cela, nous avons besoin de nouvelles compétences pour répondre aux exigences de nos clients et pour que ces voitures roulent bien en Guyane. C’est l’idée de base de ce CFA. L’autre idée aussi est de dire que l’explosion démographique ici est démesurée. Nous avons beaucoup, beaucoup de jeunes. Nous avons des entreprises à développer, mais tous métiers confondus car il y a plus de monde, donc il y a plus de demandes. Nous devons faire plus d’offres, nous devons créer des entreprises pour créer des emplois, pour créer des emplois, nous avons besoin de compétences. Nous avons donc déjà un recteur enseignant qui fait déjà bien le travail. Nous sommes juste là pour nous aider dans notre travail. Mais nous continuerons à travailler comme nous le faisons aujourd’hui avec les lycées et collèges en place ».

Damien CHAILLOT

 
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