La mauvaise nouvelle pour le Sénégal

La mauvaise nouvelle pour le Sénégal
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Après le rapport du Département d’État américain sur la situation des droits de l’homme au Sénégal, c’est au tour de l’ONG Amnesty International d’accuser l’État sénégalais de violation des droits et libertés.

L’ONG indique dans son rapport 2023, publié mercredi, que la répression des droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique s’est poursuivie à l’approche de l’élection présidentielle.

Du defenseur·e·s droits de l’homme, militants·e·s et les journalistes ont ete arbitrairement arretes et lieues à desois prudent. Les atouts deela défense eteguérire a utilisée une force excessive lors des manifestations, et les gens onteséquence ete blessereoù es-tuees.Cette annéeeet encore, les enfants talibansesont ete forceres a mendier. Exercices de discriminationeLa lutte contre les femmes et les filles mariées s’est poursuiviee » note le document.

Libertée d’expression et resyndicat

Selon l’organisation de défense des droits humains, les manifestations organisées par Yewwi Askan Wi, la principale coalition d’opposition, et par les organisations de la société civile F24 et FRAPP ont été interdites sous prétexte de prévenir des troubles. public.

Elle pointe le refus des autorités sénégalaises de lever l’interdiction, en vigueur depuis 2011, des manifestations politiques dans le centre de Dakar, malgré une décision de la Cour de justice de la CEDEAO.

A la poursuite des manifestations organiséesesont en juin en soutien a Ousmane Sonko aprèsec’est sa conviction a deux ans d’emprisonnement pour corruption des jeunes »l’accèses a Internet utilisant les donnéesesont mobiles ete restreint par les autoritéses et TikTok le fonteétait accessible uniquement en utilisant areseau privée virtuel », rapporte-t-elle

Amnesty International rappelle que le signal de Walf TV, qui couvrait les manifestations, a été coupé sans préavis par le ministère de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique au cours du mois de juin.

Usage excessif a force

L’ONG a également dénoncé le recours excessif à la force, attribué aux forces de défense et de sécurité des FDS, notamment lors des manifestations pour dénoncer l’attribution de terrains à la gendarmerie à Ngor.

Entre mars 2021 et juin 2023, au moins 56 les gens ont ete toiesont dans le cadre de l’opedes rations pour maintenir l’ordre lors des manifestations, et au moins un millier d’autres ont ete blesserees. En mai, les habitants·e·s de la commune de Ngor, a Dakar, démontrée poureattribution de l’État a la gendarmerie des terrains sur lesquels la construction d’un eétablissement scolaire eétait prêtevoir. D’après temoins et le medias, une jeune fille de 15 ans ans, Adji Diallo, a ete toieDes coups de feu lors des manifestations, au cours desquelles des gendarmes ont été vus ouvrant le feu sur des manifestants·e·s à reaction a jeter des pierres et utiliser des gaz lacrymogènesenda dans des espaces confinésedoncù il y avait des manifestants·e·s et résidents·e·s », poursuit-elle.

Vidéoseos verifieun texte d’Amnesty International montrait des gendarmes battant des personnes arrêtéesetesont et menottesees et d’utiliser les hommes comme boucliers humains pour progresser dans un quartier barricadée “» a déclaré l’organisation.

Libior SAGNA

 
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