une option qui intéresse les jeunes ? – .

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Depuis les dernières élections provinciales, le Parti québécois a connu une hausse fulgurante des intentions de vote. Son projet indépendantiste suscite-t-il pour autant l’enthousiasme des nouvelles générations ?

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«Je suis convaincu que cela se produira dans les années à venir, alors je pense sincèrement que la troisième fois sera la bonne», affirme avec certitude le militant souverainiste Alexis Bastien, trente ans après la deuxième défaite référendaire.

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TVA Nouvelles

À 18 ans, Alexis est un fervent défenseur de la souveraineté du Québec. Il s’implique au sein du Parti québécois depuis plusieurs années maintenant.

Le déclencheur est venu lors des grèves scolaires pour le climat.

« Il y a eu la course à la direction du PQ. Il y avait Paul St-Pierre Plamondon, ça m’a beaucoup parlé», dit-il.

Selon la projection des derniers sondages auprès des 18-34 ans, environ 34% prévoient de voter oui, tandis que 53% préféreraient voter non. Les indécis comptent pour 13%.

«Je serais mixte. J’aurais tendance à dire oui, mais il y a des enjeux auxquels il faut réfléchir», mentionne une jeune femme interviewée à TVA Nouvelles.

Le Parti québécois doit donc rapidement convaincre le jeune électorat s’il souhaite réaliser son projet indépendantiste.

«Si le PQ et le mouvement souverainiste ne renouvellent pas leur électorat, les choses pourraient vraiment mal se passer dans les années à venir», explique le créateur de Qc125 Philippe J. Fournier.

Le chef du Parti québécois est pleinement conscient du travail qui l’attend, même si son parti domine actuellement dans les intentions de vote.

M. Plamondon a récemment visité plusieurs universités et cégeps pour parler de souveraineté.

«On a des salles pleines, au point qu’à l’Université de Sherbrooke et à l’Université de Montréal, on a dû refuser des gens», explique-t-il en entrevue.

Pour tous les détails, voir le reportage du journaliste Hadi Hassin en début d’article.

 
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