les nouvelles directives du préfet

les nouvelles directives du préfet
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Ce vendredi 19 avril, le préfet du Gers a annoncé prendre des mesures décisives pour contrer les dégâts causés par les sangliers, entamant une collaboration renforcée entre chasseurs et autorités agricoles pour protéger les cultures.

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© WildMedia/Shutterstock.com

Le préfet du Gers a annoncé, ce vendredi 19 avril, des changements importants dans les mesures visant à protéger les cultures contre les dégâts causés par les sangliers. Ces changements, initiés en réponse à un accord national visant à réduire les dégâts causés par le gros gibier, visent à optimiser les ressources disponibles et à promouvoir une approche collaborative entre les différentes parties prenantes.

Directives du préfet du Gers contre les dégâts de gibier

Dans son arrêté, le préfet du Gers détaille ses nouvelles directives. L’une des principales modifications concerne la possibilité pour des chasseurs volontaires de remplacer les lieutenants éclaireurs jusqu’au 31 mai. Les services de l’État expliquent : « Suite à l’accord national visant à réduire les dégâts sur le gros gibier, et à la demande conjointe de la fédération départementale des chasses et de la chambre d’agriculture, le préfet décide de s’appuyer fortement sur les sociétés de chasse pour renforcer les moyens de chasse au loup. » Ainsi, les chasseurs pourront contribuer à la régulation des sangliers « causant des dégâts aux semis de printemps ».

Par ailleurs, les Lieutenants de la Louveterie intensifieront les recherches administratives, avec un accent particulier mis sur les zones présentant les dégâts les plus importants sur les cultures. Le préfet précise : « Ils interviendront à titre préventif et continueront également à intervenir sur notification des agriculteurs ou des chasseurs pour réguler les populations de sangliers.. L’enjeu est de limiter au maximum les dégâts, notamment sur les semis de printemps qui représentent des pertes importantes pour les agriculteurs (soit par les coûts des semis qui sont refaits, soit par les pertes de récolte occasionnées) dans le respect des règles. de sécurité. »

Par ailleurs, la préfecture envisage de proposer l’usage de la chevrotine dans les zones à risques, sous réserve de l’approbation d’un arrêté ministériel. Cette mesure présente ainsi une solution supplémentaire dans les cas où d’autres méthodes de contrôle s’avèrent inefficaces, tout en assurant la sécurité des personnes et des biens.

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