Univers PME | Énergir et Exterra unissent leurs forces

Univers PME | Énergir et Exterra unissent leurs forces
Descriptive text here

Énergir s’associe à la jeune entreprise québécoise Exterra Solutions Carbone pour développer des solutions d’avenir pour la décarbonation de l’économie.


Publié à 1h38

Mis à jour à 9h00

Pour Énergir, l’entente de collaboration conclue avec Exterra est une des avenues explorées pour diversifier ses activités, explique Jean-François Jaimes, directeur du développement, énergies renouvelables, du distributeur gazier.

«Nous sommes intéressés par toutes sortes de solutions et nous croyons en nos jeunes startups québécoises qui sont super innovantes», a-t-il déclaré lors d’une entrevue avec La presse. Nous voulions travailler avec eux. »

Exterra s’engage à recycler le CO2 l’utiliser pour transformer les résidus miniers en produits utiles à d’autres usages. À partir des montagnes de résidus générés par l’ancienne industrie de l’amiante, à Thetford Mines et à Val-des-Sources, la petite entreprise produit un carbonate, une roche inerte pouvant servir de matériau de remblai, ou encore une silice amorphe et un nickel-cobalt. précipité utilisé dans la chaîne de production de batteries.

Un partenariat précieux

Pour Exterra, le partenariat avec Énergir sera précieux, selon Olivier Dufresne, président-directeur général et co-fondateur de la petite entreprise. Il contribuera au développement de l’écosystème de captage et de séquestration du carbone au Québec.

« Nous avons besoin d’émetteurs de CO2 écoutez et sachez que des solutions existent au Québec, a-t-il dit. Cela nous ouvrira les portes d’accès à ces industriels et de réalisation de projets. »

La petite entreprise développe son procédé depuis deux ans et le teste dans une usine pilote à Val-des-Sources, d’une capacité de 300 tonnes par année. Son projet est d’augmenter cette capacité à 3 000 tonnes l’année prochaine.

À terme, les clients industriels d’Énergir pourraient utiliser la technologie Exterra et recourir au captage et à la séquestration du carbone pour décarboner leurs procédés, illustre Jean-François Jaimes.

Ce n’est pas demain, admet-il. « Cela va demander de la patience, de l’énergie et du temps. C’est une première étape. Nous n’annonçons pas que nous construisons une usine, mais que nous allons explorer ensemble des solutions. »

Biotero gagne du terrain

type="image/webp"> type="image/png">>>

PHOTO FOURNIE PAR BIOTERO

Conçues par l’entreprise, les nouvelles unités de service multifonctionnelles de Biotero combinent un camion benne à terre et un convoyeur à bande pour charger facilement les dispositifs d’épandage, eux-mêmes transportés dans une plate-forme à ridelles accrochées au-dessus de la porte. -faux à l’arrière du véhicule.

Biotero se propage comme une bonne herbe. L’entreprise québécoise spécialisée dans le compostage et l’ensemencement 100 % organique a annoncé qu’elle couvrirait cinq nouveaux marchés dans la province avec ses bénéfices. Après Québec, où est établi le siège social, des franchises sont maintenant en service à Mirabel, Beloeil, Saint-Jérôme, Victoriaville et au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Pour accompagner cette croissance luxuriante, l’entreprise lance ses nouvelles unités de service multifonctions BTX-160 sur les routes – et dans les champs. Conçus en interne, ils combinent un tombereau pour les terres et un convoyeur à bande pour charger facilement ses dispositifs d’épandage, eux-mêmes transportés dans une plateforme à ridelles en porte-à-faux à l’arrière du véhicule. Cette innovation est le résultat d’un investissement de plus d’un demi-million de dollars. «Nos procédés et notre machinerie innovante permettent de créer un grand volume de production et de l’appliquer sur de petites et grandes superficies de pelouse à un prix accessible à tous les propriétaires fonciers», a soutenu le président de Biotero dans un communiqué, Philippe Goulet. L’idée d’une solution écoresponsable et efficace pour le traitement de surface et l’ensemencement avait germé dans son esprit alors qu’il était propriétaire d’une grande entreprise d’aménagement paysager et d’entretien extérieur à Lac-Beauport.

Globocam se rend en Ontario

Globocam – ce sont des camions, et non des caméras de surveillance globulaires – installera pour la première fois le pneu à l’extérieur du Québec. Le plus grand réseau de concessionnaires de camions lourds de la province vient d’annoncer l’ouverture d’une succursale à Cornwall, en Ontario, juste de l’autre côté de la frontière. L’entreprise familiale devient ainsi le distributeur exclusif des camions Freightliner et Western Star dans cette région stratégiquement située sur l’autoroute 401. Fondée dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, en 1994, Globocam emploie aujourd’hui plus de 550 employés à travers le Québec et l’Ontario. . Dirigée depuis janvier 2023 par Boyer, fils du fondateur, l’entreprise a connu une expansion rapide au cours des dernières années, avec sept nouveaux points de service depuis 2016, dont des acquisitions en Beauce en 2021, à Sherbrooke en 2022 et à Trois-Rivières en 2023. Il soutient l’objectif ambitieux de livrer 2 500 camions par an d’ici 2025.

Lemieux Assurances reprend les contrats agricoles de Beneva

« Du jamais vu au Québec », assure l’assureur. La société de courtage indépendante Lemieux Assurances a acquis le portefeuille d’assurance agricole de Beneva. Elle serait ainsi la première société de courtage entièrement indépendante au Québec à racheter le portefeuille d’une compagnie d’assurance, indique l’entreprise. L’entreprise fête ses 35 anse anniversaire en rassemblant tous les contrats de Beneva dans le secteur agricole – bâtiments, matériels, animaux. C’est Beneva qui a contacté son président François Lemieux à l’automne 2023, a indiqué Lemieux Assurances par courriel. Née en 2020 de la fusion de La Capitale et de SSQ Assurance, Beneva n’était plus intéressée à poursuivre la distribution directe de ce type de contrat. Fondée en 1989 par son président François Lemieux, Lemieux Assurances compte 11 bureaux au Québec et compte 115 employés. Le cabinet représente 67 grossistes et compagnies d’assurance.

LE NOMBRE

15

Une quinzaine de jeunes professionnels pourront faire leurs premiers pas entrepreneurials au sein de l’entreprise qui les embauche grâce au programme Intraprez ! lancé par le Regroupement des Jeunes Chambres de Commerce du Québec (RJCCQ). Leurs projets de transformation numérique ou de création de filiale bénéficieront d’un accompagnement professionnel d’une valeur de près de 25 000 $.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV trois films de Saint Laurent Productions sélectionnés
NEXT des aurores boréales ont illuminé le ciel des Côtes-d’Armor