Dans les Bastides du Haut Agenais Périgord, une collection vise à offrir une seconde vie aux équipements sportifs

Dans les Bastides du Haut Agenais Périgord, une collection vise à offrir une seconde vie aux équipements sportifs
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La grande collecte sportive 2024 se poursuit jusqu’au 30 avril sur le territoire de la Communauté de communes des Bastides en Haut Agenais Périgord (CCBHAP). L’objectif de l’action ? Offrir une nouvelle vie aux équipements sportifs cassés, usagés ou inutilisés.

Les points de collecte sont les quatre déchetteries, basées à Cancon, Castillonnès, Monflanquin et Villeréal. Chaque objet déposé sera donné à des associations caritatives, ou revalorisé. « Cette initiative, lancée fin mars, fédère dans un même esprit fabricants, distributeurs, associations et acteurs de l’économie sociale et solidaire », se félicitent les élus locaux.

Ce qui est collecté

Les objets collectés sont divers. Des vêtements (t-shirt, sweat-shirt, survêtement, short, sac à dos) aux vélos, trottinettes, skateboards, rollers, en passant par les protections et accessoires de cyclisme, en passant par les équipements pour les sports nautiques (plongée, snorkeling, natation, pêche), les équipements pour le surf, l’eau ski, planche à voile, sports de glisse (skis, patins à glace, luge) et loisirs de plein air (camping, arcs et flèches, trampoline, boules de pétanque, escalade, équitation), ou encore accessoires de sport raquettes, ballon, fitness et chasse ; Le CCBHAP ratisse large.


Ici à Cancon, les équipements sportifs cassés ou usagés sont collectés. Une seconde vie leur est alors offerte.

CC.

A noter que, depuis 2022, les producteurs d’articles de sport et de loisirs financent “la gestion de la fin de vie de leurs produits en versant une éco-contribution à l’éco-organisme Ecologic sur chaque produit”, indique la Communauté de communes. Contribution qui couvre les frais de collecte des produits, leur transport « et la solution de fin de vie la plus adaptée. Selon leurs caractéristiques, ces objets usagés peuvent être réparés et donner une seconde vie ou réutilisés pour un autre usage, voire recyclés. En dernier recours, les produits pourraient être transformés en carburant pour produire de l’énergie lorsqu’aucune meilleure solution n’existe. »

 
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