Faits divers – Justice – Déjà en 1988, le Vaucluse était sous le choc de la disparition d’un enfant

Faits divers – Justice – Déjà en 1988, le Vaucluse était sous le choc de la disparition d’un enfant
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Le Luberon et sa tranquillité. Celle d’un petit village d’à peine quelques dizaines d’âmes, Castellet-en-Luberon, au pied du sommet du massif, le Mourre Nègre. Où bat le cœur de la Provence typique. “Un hameau pittoresque et sec comme le chant des cigales, un de ces joyaux qui font la fierté du Luberon, dans un écrin de lavandes, de chênes et de garrigue.», a alors été décrit dans le provençal.

Le Castellet et sa rue unique constituée de vieilles bâtisses en pierre dont beaucoup étaient des habitations secondaires. C’est dans ce décor de carte postale, pagnolesque, que s’est déroulé un fait divers qui a marqué toute une génération. La disparition et la mort d’un très jeune garçon, en plein week-end de Pâques, il y a 36 ans.

Le 3 avril 1988, Marie-Claude et Michel Hartig récupèrent leurs trois petits-enfants à la gare d’Avignon. Comme l’année précédente, ils ont dû les garder quelques jours pendant les vacances dans leur maison de vacances dans le Luberon, pendant que papa et maman travaillaient. Parmi eux, Nadia et son frère jumeau Raphaël, âgé d’à peine trois ans. Vers 12h50, tout le monde était dans la cour. Dès leur arrivée, les enfants ont eu envie de chercher des œufs de Pâques et de jouer dehors.

#Français

 
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