La majorité des matériaux ont trouvé preneur. Une manière pour Johanne Robin de léguer et de préserver l’âme de la bâtisse datant de 1850, comme “don d’organe”d’après elle.
Pendant Ça « fête de quartier », Johanne Robin a revu des voisins, des amis, un ancien employé avec qui elle a partagé quelques minutes d’une journée bien remplie et riche en émotions. Mais la beauté réside aussi dans la résilience des sinistrés qui, près d’un an après les inondations, œuvrent à la vaccination ou à la rénovation de leurs maisons. C’est le cas de Bernard Payette, propriétaire du 116, rue Saint-Joseph, et de Benoît Liard, résident.
Les deux hommes sont tristes de voir démolies les maisons patrimoniales de la rue.
Pour la propriétaire du Gîte au Clocheton, cette journée restera gravée pour longtemps dans sa mémoire. Et pour ceux qui vivent une situation similaire aux sinistrés, Johanne Robin leur conseille de vivre au jour le jour.
souvenons-nous de ça Johanne Robin avait redoublé d’efforts pour sauver la résidence depuis qu’elle a reçu son permis de démolition de la Ville de Baie-Saint-Paul, le 12 février. Concernant la démolition, rien ne devrait être fait d’ici juin 2024.
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