échange tendu entre Bernard-Henri Lévy et Natacha Polony sur la fin du conflit

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Samedi 23 mars, l’émission diffusée sur France 2 Quelle époque ! a reçu Bernard-Henri Lévy et Natacha Polony. L’essayiste et philosophe a été invité à promouvoir son dernier essai, La solitude d’Israël. Depuis la reprise du conflit entre Israël et le Hamas, le 7 octobre, l’homme de lettres a apporté à plusieurs reprises son soutien à l’État hébreu dans sa lutte contre l’organisation terroriste.

Sur le plateau, Bernard-Henri Lévy a notamment dénoncé le “manque de solidarité » envers Israël que les organisations internationales auraient manifesté après l’attaque du 7 octobre. Une position qui a interpellé Natacha Polony, invitée dans l’émission pour présenter la nouvelle version de son hebdomadaire Marianne. ” J’aurais aimé que vous puissiez dire aussi que la situation des Palestiniens est tragique “, a-t-elle alors répondu à l’essayiste.

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« Vous créez des générations de partisans du Hamas »

Je le dis depuis cinquante ans, y compris dans le livre », a répondu froidement Bernard-Henri Lévy. L’écrivain a également souligné les couloirs humanitaires établis par Israël : « qui fait des efforts considérables pour préserver les civils « . Selon lui, cette guerre est nécessaire pour combattre le Hamas et ainsi éviter de nouveaux massacres à l’avenir. Un argument que le journaliste a réfuté.

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Il faut sortir de cette logique où le pouvoir est entre les mains des extrémistes », s’est-elle défendue, affirmant que « Le gouvernement de Netanyahu ne mérite pas un soutien inconditionnel « . ” Nous devons arrêter cela, donner aux gens les droits qu’ils méritent “, a-t-elle soutenu. “ Vous me parlez de droit international ? » s’était alors indigné Bernard-Henri Lévy, poursuivant : « Lorsque le Hamas sera brisé et que le peuple palestinien sera libéré de sa dictature, nous devrons parler d’une solution politique raisonnable et juste. »

En réponse, Natacha Polony a rendu compte de la situation humanitaire à Gaza : « C’est ce qu’on appelle des crimes de guerre que de bombarder une population civile, de la priver d’électricité, d’eau et de médicaments. », a-t-elle rétorqué, estimant qu’une telle politique avait pour effet de « créer des générations de partisans du Hamas « .

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Le 7 octobre, des commandos du Hamas infiltrés depuis la bande de Gaza ont mené une attaque dans le sud d’Israël, tuant au moins 1.160 personnes, principalement des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Israéliens. Selon Israël, environ 250 personnes ont été kidnappées et 130 d’entre elles sont toujours otages à Gaza, dont 33 seraient mortes. En représailles, Israël a juré de détruire l’organisation islamiste et a ensuite lancé une offensive dans la bande de Gaza. Fin février, le Pentagone affirmait que plus de 25 000 femmes et enfants avaient été tués dans cette offensive.

 
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