C’est une autre histoire on ne peut plus belge. Après avoir aménagé quelques points d’eau dans son jardin, cette habitante d’Ans a décidé d’y installer des poissons. En se rendant dans une jardinerie, elle découvre l’existence de moules filtrantes, une variété idéale pour filtrer l’eau de ses petits bassins. Elle décide d’en acheter quelques-uns, mais se retrouve interloquée lorsque le vendeur lui demande son permis de garde d’animaux.
Surréaliste, mais elle se rend finalement à la commune où, après avoir bien rigolé, les employés lui livrent le fameux sésame.
Au final, un tel permis n’était pas nécessaire pour l’achat de moules filtres, mais il démontre clairement à quel point une telle réglementation peut être absurde.
Le cancer des moules arrive… et il est contagieux !
Pour l’achat d’un poisson rouge, ce certificat est en effet exigé, au motif qu’il doit également être protégé contre les mauvais traitements, comme tout autre animal. Les mollusques y échappent.
Ouf, on peut toujours manger des moules et des huîtres sans être qualifiés de dangereux criminels.
On se demande cependant si la brigade de protection des animaux a déjà intenté de nombreuses poursuites pour maltraitance envers les poissons rouges.
N’allez-vous pas trop loin, Maurice ?
