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“Savez-vous ? Metz » peut également être écouté en podcast
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Une mère tient son fils. Le site L’histoire par l’image, soutenu par le ministère de la Culture, détaille l’histoire de l’œuvre. A l’époque, trois hauts-reliefs représentaient les Poilus pour deux d’entre eux, et les victimes civiles de la guerre pour le dernier.
L’inscription « Aux enfants de Metz, victimes mortes de la guerre » omet la formule « pour la patrie », et « choisit d’imputer à la guerre, et non à l’ennemi, la mort du combattant », indique le site Histoire par image.
Le monument de 1935 montre à la fois « le deuil universel et la spécificité de la situation des provinces retrouvée après la Grande Guerre ».
Lorsque les Allemands reprirent Metz en 1940, ils supprimèrent les hauts-reliefs et l’inscription : le monument pouvait alors convenir à leurs propres morts, la pietà étant universelle.
Un lieu de contemplation
Depuis son inauguration, le Monument aux Morts est un lieu de recueillement en hommage aux victimes des conflits.
Mardi 19 mars, un hommage a été rendu aux victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc, en présence de plusieurs associations de combattants. Le 18 mars 1962, les accords d’Evian sont signés, marquant la fin de la guerre et l’indépendance de l’Algérie.
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