L’auteur carcassonnais Philippe Mariou livre un roman d’amour, entre « 50 nuances de Grey » et « La Vie d’Adèle »

L’auteur carcassonnais Philippe Mariou livre un roman d’amour, entre « 50 nuances de Grey » et « La Vie d’Adèle »
L’auteur carcassonnais Philippe Mariou livre un roman d’amour, entre « 50 nuances de Grey » et « La Vie d’Adèle »

Après son dernier livre régionaliste sorti il ​​y a un peu plus d’un an, l’auteur carcassonnais Philippe Mariou revient avec un nouvel ouvrage : « La Main perdue ». Un roman qui invite les lecteurs à découvrir la vie mouvementée d’une femme hors du commun… Le membre de l’Académie des Arts et des Sciences en dévoile davantage. Entretien.

De quoi parle votre dernière œuvre intitulée « The Lost Hand » ?

Pour ce livre, je voulais faire quelque chose d’un peu différent. A travers mes œuvres, j’essaie autant que possible de rendre hommage aux femmes. Dans celui-ci, l’histoire se déroule entre 1951 et 1957. Je voulais raconter l’histoire d’amour entre deux femmes. Entre Blanca, une Européenne et Malia, une jeune femme noire du Burkina Faso. J’aide ce couple à évoluer dans la société de l’époque qui est beaucoup moins ouverte d’esprit qu’aujourd’hui. Je défends un peu le fonctionnement de ces deux femmes à travers le regard malveillant de la société des années 50. C’est un livre où il y a de l’érotisme, un peu à la frontière entre « 50 Nuances de Grey » et « La Vie d’Adèle ».

Lire aussi :
Les romans du Carcassonnais Philippe Mariou

On vous connaît notamment pour vos travaux régionalistes… L’histoire se passe-t-elle dans le département ?

Je voulais aborder ce sujet. Je voulais mettre en lumière un fait répréhensible à un moment donné. Mais je ne voulais pas situer l’histoire dans l’Aude. Je voulais que chaque territoire en France puisse se l’approprier. Que le livre puisse voyager au-delà des frontières de l’Aude. C’est pourquoi l’histoire se déroule dans les Pyrénées-Atlantiques, dans la ville de Pau. « La Main Perdue », le titre du livre fait également référence à une auberge située dans ce département.

Quels sont vos projets à venir ?

Je me donne un peu de temps pour voir comment les lecteurs reçoivent cet ouvrage. C’est vrai que je suis surtout connu pour mes livres régionalistes. Alors j’attends de voir si un livre qui ne parle pas de Carcassonne ou d’Aude en général peut fonctionner. Pour rappel, le précédent livre « L’Aude de la verre » avait très bien fonctionné. Près de 2 000 exemplaires ont été vendus. J’espère que “The Lost Hand” aura autant de succès.

Disponible à la librairie Breithaup rue Courtejaire et à la Maison de -, rue Georges-Clémenceau. Prix ​​: 22 €

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT La vie de Mme Bendiche racontée dans un roman