« Aujourd’hui, je me permets de lâcher un livre avant la fin si je ne l’aime pas » – .

« Aujourd’hui, je me permets de lâcher un livre avant la fin si je ne l’aime pas » – .
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Le prix littéraire de la Closerie des Lilas, dont le jury et les lauréates sont des femmes, a été décerné jeudi 25 avril à Arièle Butaux pour son neuvième roman, Le cratère, publié en mars par Sabine Wespieser. Nous en avons profité pour interroger Hélèna Noguerra sur ses livres de chevet.

ELLE : Quel a été votre dernier livre lu ?

Hélèna Noguerra : Toujours jeune, de Marushka Le moing (éditions Gallimard, ndlr). Un livre sur l’expérience amoureuse à deux âges qui remet en question l’image figée du bonheur conjugal.

ELLE : Le livre que vous avez lu le plus de fois ?

HN : L’écume des jours, de Boris Vian.

ELLE : L’auteur dont vous avez le plus lu les livres ?

HN : Milan Kundera, Boris Vian et Marguerite Duras.

ELLE : Est-ce qu’il vous arrive de déposer des livres avant la fin ?

HN : Désormais, je me le permets. Mais j’ai longtemps pensé qu’il s’agissait d’un manque de respect envers l’auteur. Et cela empêchait de donner une chance au travail. Aujourd’hui, le temps m’est devenu plus précieux, et il y a tellement de livres à lire que je n’hésite plus, je me le permets.

ELLE : Une expression que vous utilisez souvent ?

HN : Saperlipopette !

ELLE : Gaucher ou droitier ?

HN : Droitier et cœur à gauche.

ELLE : Quelle faute d’orthographe faites-vous trop souvent ?

HN : Tellement plus !

 
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