« Une taxe sur les livres d’occasion pourrait financer la création »

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Par Claudia Cohen

Publié
Il ya 1 heure,

Mise à jour Il ya 1 heure

Denis Olivennes.
Figaro TV Île-de-France

Invité de l’émission Entreprendre sur Figaro TVle président d’Editis estime que cette taxe serait utile pour les auteurs et indolore pour le lecteur.

« Le temps de lecture des jeunes issus des classes populaires représente la moitié du temps de lecture des jeunes issus des classes privilégiées, alerte Denis Olivennes, président d’Editis, invité de « Esprit d’entreprise », l’émission économique de la chaîne TV Le Figaro. “Il y a certes un enjeu pour le marché de l’édition, mais il y a surtout un enjeu d’égalité démocratique en France car la lecture contribue à faciliter l’accès au monde et la mobilité sociale.

A la tête du deuxième groupe d’édition français (Julliard, Robert Laffont, Plon, Les Presses de la Cité…), détenu depuis plusieurs mois par le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, Denis Olivennes espère voir émerger davantage de programmes littéraires à la télévision. « Peut-être un peu moins snob… en mettant en avant des livres plus accessibles au grand public », il sourit. Il est en revanche défavorable à l’idée d’une loi qui restreindrait le temps d’écran des enfants. Une proposition faite ces derniers jours par des personnalités…

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