Christine Campadieu livre trois anecdotes sur Jim Harrison, auteur des grands espaces

Christine Campadieu livre trois anecdotes sur Jim Harrison, auteur des grands espaces
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Dans son livre « Le Sorcier et Luciole », Christine Campadieu, vigneronne des Pyrénées-Orientales, raconte son aventure avec Jim Harrison. Durant une dizaine d’années, Banyulenque accompagne l’écrivain américain de plein air sur les routes d’Europe. Elle livre aujourd’hui trois anecdotes sur « Big Jim ».

Cuisine catalane

« Jim Harrison aimait particulièrement la cuisine catalane. Il a dit que c’était de la cuisine française mais avec du punch. Il aimait l’ail, les poivrons, le piment et les viandes sauvages ; le jeu avant tout.

Ce qu’il recherchait, c’était une cuisine de camionneurs, une cuisine avec une âme. Il avait une sainte horreur de l’azote ou des cuisines moléculaires », se souvient Christine Campadieu.

Chiens

« Ils sont essentiels pour Jim Harrison. Il avait une passion folle pour les chiens. C’était la chose qui lui manquait le plus en voyage. Les amis chasseurs et écrivains de Jim Harrison vivent tous avec leurs chiens. Ce qui me fait « Ce qui m’a frappé, c’est que contrairement à nous en , les chiens vivent dans la maison. Ils vont partout comme des êtres humains » précise le vigneron.

Vin

« Jim Harrison aimait beaucoup les vins ensoleillés comme le Bandol rouge de sa grande amie Lulu Peyraud. Mais aussi Collioure. Dans un de ses mails, il m’explique qu’il a bu un Collioure avant de dormir et qu’il s’est réveillé d’excellente humeur, ajoutant que s’il avait bu du Bordeaux il se serait réveillé malheureux et cynique.

Quand j’allais chez les Harrison, que ce soit en Arizona ou dans le Montana, il y avait toujours des caisses entières d’Hermitage Côtes du Rhône et Collioure », se souvient Christine Campadieu.

 
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