Pascal Thomas, fragments de vie

Les souvenirs confus de Pascal Thomas viennent de l’intime et du cinéma. C’est léger, fantaisiste mais pas que.


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Journaliste au service de la Culture

Par Fabienne Bradfer

Publié le 28/03/2024 à 16h25
Temps de lecture : 2 minutes

P.ascal Thomas, c’est Ne pleure pas la bouche pleine, mercredi, journée de folie !, La dilettante, Mon petit doigt m’a dit…, Voyage en pyjama… De 1972 à 2024, des films qui témoignent d’une certaine approche hédoniste de la vie, qui dressent une description amusée d’une certaine société typiquement française et provinciale. Pascal Thomas, né en 1944, un 2 avril comme Casanova, s’intéresse aux maris, aux femmes, aux amants mais aussi aux zozos et zozotes. Ainsi est l’œuvre de ce grand cinéphile anticonformiste qui aime collectionner les instants de bonheur et citer Léautaud (« Pourquoi s’inquiéter du tragique puisque le tragique existe dans la comédie ? »), suit les époques et, de temps en temps, s’échappe le cinéma pour voyager ou partir à la recherche de textes manuscrits de grands auteurs. Et le voilà qui livre ses souvenirs en pagaille. Fragments de vie et instantanés dans une chronologie désordonnée pour une enfilade de chapitres courts, amusants et anecdotiques.



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