Publié le 21 novembre 2024 à 20h17 / Modifié le 21 novembre 2024 à 20h23
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Albert Rösti, directeur du DETEC, assure que «la Suisse est prête à apporter sa contribution» contre le réchauffement climatique
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Les pays du Sud s’insurgent face au manque de propositions concrètes de la part des pays occidentaux
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Jeudi, ils ont continué à exiger entre 1 000 et 1 300 milliards de dollars.
Sur la plateforme, des responsables de pays aussi différents que la Suisse, le Mexique, le Royaume-Uni, le Panama et la Norvège. Les COP sont familières avec ce type d’alliances de seconde main formées entre des pays dont les intérêts pourraient autrement diverger considérablement. C’est au tour du conseiller fédéral Albert Rösti de prendre la parole. Il fait partie de la grande chorale mondiale qui naît de Bakou. «La Suisse est prête à apporter sa contribution», affirme-t-il. Le chef du Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) en est convaincu : la planète peut encore éviter de dépasser le seuil de 1,5°C de réchauffement. Mais à condition, dit-il, que « tous les pays » mettent en œuvre les mesures qu’ils ont promises.
Chapeau traditionnel sur la tête, tenue colorée, son collègue panaméen Juan Carlos Monterrey semble lui répondre point pour tat : “Sans ambition, ce sera l’extinction.” L’homme a le sens de la formule.
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