NARRATIF – Ces groupes armés soutenus par la Turquie ont attaqué les forces de Bachar al-Assad depuis leur refuge d’Idlib, profitant du fait que le Hezbollah est monopolisé par la guerre contre Israël.
La vaste offensive lancée depuis mercredi par les opposants armés de Bachar al-Assad, regroupés autour des jihadistes et de leurs alliés, les a conduits jusqu’à la ville d’Alep, où ils ont occupé vendredi soir plusieurs quartiers, une première depuis leur retrait de la deuxième ville syrienne en 2017. 2016, où la population, parfois en proie à la panique, craint un retour de la guerre. “Ils sont entrés dans les districts de l’ouest et du sud-ouest», a déclaré à l’AFP le directeur de l’Organisation syrienne des droits de l’homme (OSDH), Rami Abdel Rahman. Les jihadistes ont ensuite pris le contrôle de cinq quartiers, a-t-il ajouté, précisant que les forces du régime « n’ont pas opposé beaucoup de résistance », même si des combats ont été signalés par endroits.
Les combattants de Hayat Tahrir al-Sham, ancien groupe jihadiste, et des factions qui leur sont alliées, dont certaines proches de la Turquie, ont lancé leurs attaques depuis leur dernier bastion au nord-ouest de…
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