Un accord a finalement été trouvé mercredi soir entre les trois partis de la coalition européenne. Même s’il a permis d’approuver tous les commissaires, il masque mal les différences entre le PPE, les socialistes et les libéraux.
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jein extremis, les trois piliers de la majorité européenne sont parvenus à sortir la nouvelle Commission de l’ornière dans laquelle ils l’avaient enfermée. Cela fait dix jours que le Parti populaire européen (PPE, conservateurs), le S&D (socialistes) et Renew (libéraux) se déchirent sur la nomination du futur exécutif. Le problème ? Rien de moins que la confirmation des six vice-présidents de l’équipe et du commissaire hongrois. Hormis Oliver Varhelyi, aucun des autres n’a échoué lors de son audition du 12 novembre. Mais tous ont été victimes des profonds désaccords entre les trois forces politiques appelées à piloter le projet européen au cours des cinq prochaines années.
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