On le croyait mort et enterré prématurément, les réseaux sociaux bouillonnant depuis plusieurs jours des rumeurs les plus délirantes sur sa disparition soudaine…
Non, l’Irakien Salwan Momika n’est pas (encore) décédé ! Le dangereux semeur de troubles, proche de l’extrême droite nordique, dont les odieuses profanations du Coran sur le sol suédois ont été innombrables, est bien vivant, mais n’est plus libre de ses actes et de ses gestes.
Il fut en effet appréhendé en Norvège, par les autorités de ce qui allait être sa nouvelle terre d’asile, après avoir déserté la très clémente Suède où il était devenu, au fur et à mesure de ses infâmes provocations, un réfugié. indésirable et expulsable.
Depuis le 28 mars, date de son arrivée sans fanfare, mais sans gloire à Oslo, le pyromane répété du Livre sacré de l’Islam croupit dans le centre de détention pour migrants de Trandum. Il doit y rester jusqu’à son retour à la case départ, c’est-à-dire à Stockholm, ont rapporté les médias norvégiens, soulignant à quel point son « leur présence est considérée comme une menace pour le pays ».
Non, le triste Sir Salwan Momika n’a pas disparu dans de sombres catacombes, ni succombé à une mort violente ! Le redoutable pyromane de la cohésion sociale s’est en revanche transformé en une véritable patate chaude que se transmettent les deux pays scandinaves proches, dans le cadre de l’accord de Dublin qui encadre les demandes d’asile au sein de l’Union européenne. Et qui sait, peut-être qu’il est même leur pomme de discorde…
