Cette décision sur son extradition vers les Etats-Unis offre un répit au fondateur de Wikileaks

Cette décision sur son extradition vers les Etats-Unis offre un répit au fondateur de Wikileaks
Descriptive text here
>>>>
THOMAS COEX / AFP Un manifestant tenant une pancarte avec le visage de Julian Assange et le message « Ne touchez pas à Assange, ne tuez pas le messager », lors d’une manifestation à Madrid le 20 février 2024.

THOMAS COEX / AFP

Un manifestant tenant une pancarte avec le visage de Julian Assange et le message « Ne touchez pas à Assange, ne tuez pas le messager », lors d’une manifestation à Madrid le 20 février 2024.

JUSTICE – La justice britannique offre un dernier répit à Julian Assange. Ce mardi 26 mars, deux juges de la Haute Cour de Londres, Victoria Sharp et Jeremy Johnson l’ont autorisé à faire appel de son extradition vers les États-Unis, acceptée en juin 2022 par le gouvernement britannique. Mais sous quelques conditions.

Lors de l’audience, les deux juges ont donné trois semaines aux autorités américaines pour garantir que Julian Assange pourrait bénéficier du premier amendement de la Constitution américaine qui protège la liberté d’expression, et qu’il ne serait pas condamné à la peine de mort, selon un communiqué. résumé du jugement. Si aucune garantie n’est apportée dans un délai de trois semaines, Julian Assange pourra contester son extradition en dernier recours au Royaume-Uni, explique la BBC.

En dernier recours, il peut également s’adresser à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH).

La lecture de ce contenu peut entraîner le dépôt de cookies par l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte tenu des choix que vous avez exprimés concernant le dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies « Contenu tiers » en cliquant sur le bouton ci-dessous.

Lire la vidéo

La justice américaine poursuit Julian Assange pour avoir publié, il y a plus de 14 ans maintenant, plus de 700 000 documents confidentiels sur les activités militaires et diplomatiques américaines, notamment en Irak et en Afghanistan. Dont une vidéo montrant des civils, dont deux journalistes de Reuters, tués par les tirs d’un hélicoptère de combat américain en Irak en juillet 2007. L’Australien de 52 ans est poursuivi en vertu d’une loi de 1917 sur l’espionnage.

De nombreuses voix ont exhorté le président américain Joe Biden à abandonner les 18 charges retenues contre lui lors du premier mandat de Donald Trump. Ces dernières semaines, les proches de Julian Assange, détenu depuis cinq ans dans la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres, ont alerté sur la dégradation de son état de santé.

Sa défense met également en avant un risque de suicide en cas d’extradition.

Voir aussi sur HuffPost :

La lecture de ce contenu peut entraîner le dépôt de cookies par l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte tenu des choix que vous avez exprimés concernant le dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies « Contenu tiers » en cliquant sur le bouton ci-dessous.

Lire la vidéo

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Explosion d’un stock de munitions : une vingtaine de militaires cambodgiens tués
NEXT 100 personnes arrêtées dans une université de Boston