Près de 53 000 personnes recevront un diagnostic de cancer du poumon en 2023 en France. Ce cancer se classe au deuxième rang chez les hommes et au troisième chez les femmes, selon les données de l’Institut national du cancer. Et si le tabac reste le premier facteur de risque, responsable de huit cancers sur dix, d’autres facteurs environnementaux ou professionnels reconnus comme cancérigènes pour les poumons peuvent affecter son développement. En revanche, des symptômes courants sont connus du public, comme des problèmes respiratoires et une altération de l’état de santé général, mais certains signes moins courants peuvent surprendre les spécialistes. C’est le cas d’une ancienne médecin généraliste britannique, Sally Hall. Lorsqu’elle a commencé à souffrir de maux de dos, l’idée qu’elle pourrait avoir un cancer du poumon ne lui est même pas venue à l’esprit.
« Mon dos a commencé à me faire mal. »
« je vidais le garage », raconte le retraité au quotidien local de la commune d’Oldham. ” Je me souviens avoir sorti des caisses de vieux carreaux de céramique, il n’était donc pas surprenant que mon dos ait commencé à me faire mal ! La douleur persistait cependant, alors après quelques mois, j’ai consulté mon médecin généraliste ainsi qu’un physiothérapeute. »
“N’ayant jamais fumé, je ne pensais pas souffrir d’un cancer du poumon”
« Que s’est-il passé ensuite (…)
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