Reine du barbecue l’été (et du garde-manger l’hiver), la sardine tient une place à part dans la famille des poissons gras. Il se distingue de ses congénères par son dos aux reflets bleus métalliques… et par sa teneur particulièrement élevée en oméga 3. « C’est l’un des poissons gras qui en contient le plus, confirme Raphaël Gruman, diététicien. Et comme c’est un petit poisson, il a l’avantage de ne pas être chargé en métaux lourds comme peuvent l’être le thon, le saumon ou l’espadon.»
Les sardines protègent notre cerveau
Les sardines peuvent ainsi être mises au menu au moins deux fois par semaine, en alternance avec d’autres petits poissons gras, comme le maquereau. “Cette consommation régulière permet de couvrir nos besoins en oméga 3 dont les apports en population générale restent généralement inférieurs aux recommandations sanitaires”, regrette notre expert. Les acides gras essentiels, les oméga 3, ne peuvent pas être synthétisés par l’organisme. Ils doivent être apportés par l’alimentation. L’avantage des sardines : une portion (100 g) suffit largement à couvrir nos besoins quotidiens en EPA et DHA, précurseurs des oméga 3. « Au niveau cérébral, elles facilitent l’influx nerveux en agissant sur la gaine de myéline entourant les neurones, explique Le spécialiste. Ces acides gras préviennent la fatigue cérébrale, et des études commencent à démontrer leur action préventive sur les maladies (…)
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