un thriller écologique cherche des figurants pour un tournage en juin

un thriller écologique cherche des figurants pour un tournage en juin
un thriller écologique cherche des figurants pour un tournage en juin

Tout a commencé il y a presque quarante ans. « Même avant ma naissance », raconte Jérémy Lavalade. Sa mère n’avait pas encore 20 ans et envisageait d’entrer dans une école de cinéma pour devenir réalisatrice. La vie en a décidé autrement. « Mais, en 2017, lors d’une discussion, elle m’a fait lire un cahier manuscrit dans lequel elle notait des idées de films. » Et aussitôt, l’idée lui vint : « Il fallait absolument que je continue ce qu’elle n’avait pas pu achever. »

La dernière terre restante sur Terre

Ce qui était au départ une envie personnelle, transformée en un projet de long métrage plus ambitieux, L’harmonie du doute. Du 9 au 12 juin, quatre jours de tournage sont prévus à Niort, pour lesquels l’équipe recherche une soixantaine de figurants. Le Moulin du Roc et la médiathèque Pierre-Moinot, entre autres, serviront d’écrin. Des scènes seront également tournées sur l’île d’Oléron (Charente-Maritime). Ce sont les premières minutes du film qui seront mises en conserve, de quoi construire un court-métrage qui servira d’amorce à la version longue.

Le pitch : après une tragique montée des eaux, l’île de la Pointe Rose reste la dernière surface terrestre au monde. Un peuple y vit en paix. Un univers parfait. Mais cette harmonie cache peut-être quelque chose. En proie à une inquiétude secrète, une journaliste, Tana, cherche à dépasser les faux-semblants.

De faux prétextes

Un thriller écologique, résume Pablo Freïtas, complice de Jérémy Lavalade dans cette aventure. Ce Niortais, formé à l’Eicar (Ecole Internationale de Création et de Production Audiovisuelle) à Paris, codirige L’harmonie du doute et citation Île aux obturateurs de Scorsese parmi les références. Mais L’harmonie du doute est avant tout un film sur la nécessité de passer les sujets écologiques au laser de la pensée critique.

« Le choix de Niort comme lieu de tournage était évidemment par affinité personnelle mais aussi parce que les paysages, le Marais Poitevin, Coulon, la forêt de Mervent mais aussi certains lieux de la ville elle-même, dans les couleurs et la « disposition, correspondent au l’ambiance du film”il explique.

« Nous nous sommes retrouvés dans une ville très friande de culture, et ce n’est pas le cas partout. Si nous faisons découvrir que Niort n’est pas seulement « la ville près de La Rochelle », tant mieux. »observe Jérémy Lavalade, lui-même originaire de Marseille.

Diplômé de l’Essec, ce dernier était à dix mille lieues du monde de la fiction. Il s’entoure d’une équipe d’une cinquantaine de professionnels issus des métiers du cinéma mais aussi du commerce, de l’ingénierie et du journalisme.

Pas de profil particulier pour jouer les figurants, en famille, entre amis ou seul : les réalisateurs ont besoin d’une gamme d’âges et de profils la plus variée possible. Rendez-vous du 9 au 12 juin pour flairer les mystères de l’île Pointe Rose.

Contact : Sophie Marguerite, assistante réalisatrice au 07.52.06.23.90 ou par mail : [email protected]

 
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